Initi�s par l�APC sortante il y a plus de deux ann�es, les travaux du r�seau d�assainissement entrepris tout le long de la rue du Croissant-Rouge continuent de tra�ner en longueur, p�nalisant lourdement le bon fonctionnement d�une infrastructure d�int�r�t g�n�ral qu�est l�h�pital d�El-Eulma. En �t�, c�est la poussi�re qui rend la vie quasi insupportable alors qu�en hiver l�on patauge dans la gadoue. Les deux entr�es principales, la direction et les services ainsi que le service des urgences sont devenus difficiles d�acc�s pour les ambulances et les particuliers. La direction de l�h�pital qui d�ploie beaucoup d'efforts � l�effet d�am�liorer la prise en charge des malades (la structure accueille plus de 100 malades dans les diff�rents services) et qui est �trang�re � cet �tat de fait subit les cons�quences n�fastes de ces travaux qui perdurent et qui polluent l�environnement imm�diat des lieux tout en alt�rant l�hygi�ne g�n�rale et obligeant les habitants des cit�s Bourefref et Laabidi � faire un long d�tour pour rentrer chez eux. Les pouvoirs publics et notamment l�APC sont interpell�s afin d�inviter l�entreprise ou l�entrepreneur en charge de ces travaux � les acc�l�rer et � livrer la rue dans les meilleurs d�lais possibles afin de rendre agr�able la fa�ade de ce joyau architectural. Mostefa Djafar GREFFE DE LA CORN�E Une premi�re Une premi�re au service d�ophtalmologie de S�tif. Une dizaine de greffes de la corn�e ont �t� effectu�es, hier dimanche, avec succ�s par l��quipe m�dicale du service d�ophtalmologie dirig�e par le docteur Riad, m�decin chef de service, sous la conduite du docteur Chachoua de l�h�pital Parnet d�Alger. La greffe de la corn�e conna�t depuis quelque temps en Alg�rie des progr�s consid�rables. Avec cette r�alisation, la direction du service d�ophtalmologie compte programmer d�autres greffes pour vingt-huit autres patients inscrits sur le planning, et ce, en attendant la r�ception des greffons qui, il faut le savoir, sont import�s des Etats-Unis par l�Institut Pasteur d�Alger et qui co�tent la bagatelle de 170 000 dinars l�unit�. A cet effet, les ophtalmologues fondent de grands espoirs sur les transplantations � partir de pr�l�vements sur des cadavres donneurs. Cet objectif exige davantage de mobilisation de la part de la soci�t� civile afin d'encourager les dons d'organes au profit d'un maximum de patients qui n�cessitent une nouvelle corn�e, sugg�rent les sp�cialistes.