A Ma�tkas, nul n�aimerait �tre membre de la commission d�attribution de logements sociaux rien qu�� se fier � ce chiffre de 8 logements seulement disponibles pour plus de 1 000 demandeurs (0,08 %). Il y a lieu de souligner que les brigades d�enqu�teurs ont sillonn� plus de trente villages d�j� et la pression qui p�se sur leurs �paules reste tr�s perceptible. En effet, il est extr�mement dur pour la commission d�octroyer ces 8 logements � qui de droit sans soulever de m�contentement parmi les innombrables autres candidats, m�me si le classement se ferait selon les normes et autres crit�res clairement d�finis par la r�glementation en vigueur. Aussi, sur ces 8 logements disponibles, 2 seraient d�j� attribu�s au minist�re de la Sant� aux fins de d�gager les logements d�astreinte de la polyclinique locale et en faire une extension du centre de sant� en question. Il faut dire, par ailleurs, que l�autre programme d�aide � l�habitat rural suscite encore un grand engouement des m�nages, de par la r�ussite que cette formule aura produit particuli�rement � Ma�tkas. Des centaines de demandes sont comptabilis�es en attendant satisfaction. Il faut dire que plus de 500 logements ont �t� d�j� r�ceptionn�s depuis 2003, et ce, au niveau de toute la circonscription. Une r�vision � la hausse des quotas allou�s aux municipalit�s rurales telles que Ma�tkas, Souk-El- Tenine, Beni-Zmenzer, Tirmitine� souhait�e pour att�nuer un tant soit peu cette pression sur le logement social, pour que ce programme soit r�serv� exclusivement aux citoyens ne disposant pas de terrains � b�tir. C�est dire que beaucoup d�efforts restent � fournir en mati�re de logements sociaux, toutes formules confondues. Ainsi, on croit savoir que 52 logements auraient �t� allou�s pour la da�ra de Ma�tkas (2 communes) dans le cadre de la r�sorption de l�habitat pr�caire (RHP). Il reste seulement � soulever cette contrainte technique du foncier qui resurgit � chaque programme infrastructurel, car, faudrait-il le rappeler, les deux municipalit�s de la circonscription souffrent du manque de patrimoine foncier public urbanisable.