Que dire lorsque patients et professionnels de la sant� au niveau du CHU d�Oran parlent de mal�tre et de d�sarroi g�n�ral au niveau de cette structure qui va de mal en pis? Cette fois-ci, le cri de d�tresse est lanc� par la section syndicale du Snapap qui parle d�unanimit� chez les travailleurs du CHUO qui �d�cident de rompre d�finitivement avec les choix et pratiques impos�s, entra�nant l�argent des travailleurs et travailleuses dans une gestion opaque, et les griefs sont nombreux�. Dans un communiqu� adress� � notre r�daction, le Snapap d�nonce les tentatives de porter atteinte aux principes de la neutralit� de l�administration, �avec l�objectif de confisquer la volont� souveraine des travailleurs, d�aller au vote et de laisser la gestion des �uvres sociales � une section syndicale dont la gestion laisse � d�sirer et dont une condamnation p�nale a �t� prononc�es � l�encontre des auteurs, objet de mauvaise gestion et ce, � deux reprises�. Le syndicat se d�sole face � la morosit�, la routine, l�arbitraire qui s�vissent, la nonchalance et le harc�lement moral envers les travailleurs notamment le personnel f�minin. Les syndicalistes s�insurgent � travers leur communiqu� contre ce qu�ils qualifient d�obstruction au libre droit de l�exercice syndical, tout en interpellant le directeur g�n�ral du CHUO : �Que faites-vous monsieur le DG du d�cret n�06/58 du 11/02/2006 qui privil�gie le dialogue avec les partenaire sociaux?� Tout en invitant le DG � prendre part � une assembl�e g�n�rale, ils lui assurent qu�il pourra �couter les pr�occupations des travailleurs et du personnel param�dical et les difficult�s qu�endure la femme travailleuse au sein de cette institution. Pour clore leur communiqu�, le syndicat annonce qu�un rassemblement aura lieu prochainement devant la direction g�n�rale afin que cette lutte pour les droits qui constituent une force soit entendue.