Dans une rencontre avec notre journal, M. Yahiaoui, directeur de l'Office de promotion et de gestion immobili�re d'Oum-El-Bouaghi, nous d�clara que son organisme dispose d'un parc logements de 31 680 unit�s de types logements publics locatifs dont 26 400 achev�s et r�ceptionn�s, 4 650 en cours de r�alisation et 630 sont en cours de lancement. Sur un autre plan, l'Office a b�n�fici� d'un programme de 5 600 logements de type RHP dont 720 unit�s sont r�ceptionn�es et le reste en voie d'ach�vement. Pour le type de logements LSP, l'Office a livr� 210 logements au niveau de A�n-M�lila, 60 de m�me type sont en cours de r�alisation � Ouled-Hamla. Pour les 40 logements LSP du site de A�n-Be�da, lanc�s courant 2006 et pour lesquels les b�n�ficiaires ont manifest� r�cemment, M. Yahiaoui nous confirma que le probl�me a trouv� son �pilogue � la suite d�un consensus avec la Cnep et les souscripteurs entreront en possession de leurs actes avant la fin du mois courant. Le directeur de l'Office, qui a pris les destin�es de l'OPGI fin 2009, nous r�v�le que son organisme enregistre un fardeau tr�s lourd de cr�ances d�tenues par les locataires et qui avoisinent les 87 milliards de centimes. A�N-BABOUCHE Des centaines de jeunes devant le si�ge de l�APC Des centaines de jeunes issus de la commune de A�n-Babouche, localit� situ�e � 10 km � l'est du cheflieu de wilaya, ont occup� le devant du si�ge de l'APC en scandant des propos hostiles � l'endroit des responsables locaux. Gagn�s par la col�re, ces jeunes sont all�s bloquer et barricader toutes les issues de la route nationale reliant leur localit� � la wilaya limitrophe Guelma, usant de troncs d'arbres, blocs de pierre et autres. Ces revendications, � la limite de la violence, sont g�n�r�es suite � un recrutement dans des conditions obscures et qui aurait concern� des personnes �trang�res � la commune de 56 nouveaux employ�s au niveau de certaines institutions de la commune suite � l'ouverture d'un centre de soins, un centre de formation professionnelle et une unit� de CCLS. Ces contestataires que nous avons contact�s demandent,, dans une lettre adress�e au premier responsable de la wilaya, l'ouverture d'une enqu�te au sujet de cette affaire qui reste le sujet de discussions de cette jeunesse rong�e par le ch�mage et la malvie qui r�gnent dans cette paisible localit�.