L'explosion survenue, hier, près de Times Square à New York était «une tentative d'attentat terroriste», a indiqué le maire de New York. L'explosion a été déclenchée par un homme de 27 ans, identifié comme Akayed Ullah, qui portait sur son corps un engin explosif rudimentaire, a précisé le chef de la police, James O'Neill. Le suspect a été arrêté, avec des blessures et des brûlures au corps, a ajouté M. O'Neill. L'explosion est survenue moins de six semaines après un attentat à la voiture-bélier qui a fait huit morts et 12 blessés dans le sud de Manhattan, premier attentat mortel à New York depuis les attentats du 11 septembre 2001. Le suspect a été immédiatement arrêté. Il s'agissait d'un Ouzbek qui a reconnu avoir prêté allégeance à Daech. Certains pourraient attribuer la tentative d'attentat à la reconnaissance par Washington d'El Qods capitale d'Israël et renforcer la cause du premier ministre Netanyahu, au moment où la communauté mondiale dénonce la reconnaissance par le président américain d'El Qods colonisé capitale d'Israël. Pourtant, Daech a largement démontré que sa principale cible est les musulmans. Le calife autoproclamé de Daech, El Baghdadi, a noté qu'il refuse de cibler Israël, préférant attaquer les pays musulmans. Il y a quelques jours, Moscou a accusé Washington de chercher à empêcher la défaite de Daech. Israël est accusé par Damas de soutenir Daech. L'attentat d'hier imputé à Daech, ennemi de l'Islam et de l'humanité pourrait être exploité par ceux qui tentent de justifier la reconnaissance par Washington d'El Qods colonisé capitale d'Israël. L'attentat d'hier rappelle les attaques du 11 septembre 2001 perpétrées par Al Qaida dirigée par Oussama Ben Laden. Quinze des 19 auteurs présumés des attaques sont de l'Arabie saoudite. Le congrès américain a prôné une loi autorisant les victimes de ces attaques à déposer plainte contre l'Arabie saoudite, pays sponsor du terrorisme dans le monde. Pour échapper à la justice, l'Arabie saoudite a conclu un accord de 460 milliards d'armes avec Washington. Par cet accord, l'Arabie saoudite croit avoir obtenu le feu vert de Washington pour perpétrer des crimes de guerre au Yémen. Pourtant, le chef du département d'Etat américain, Rex Tillerson, a noté, il y a quelques jours, à Paris, que l'Arabie saoudite doit réfléchir à ses exactions au Yémen, Qatar et Liban. L'Arabie saoudite impliquée dans le terrorisme tente de plaire à Israël et Washington, en refusant de prendre une initiative concrète contre la reconnaissance par le président américain d'El Qods colonisé capitale d'Israël. La population de Ghaza a dans une protestation accusé le roi d'Arabie saoudite d'être un traître. Le président américain a reconnu El Qods colonisé capitale d'Israël. L'initiative est refusée par la communauté mondiale. Des heurts ont lieu depuis en Palestine occupée, opposant les palestiniens aux forces de l'ordre d'Israël. Le Conseil de sécurité de l'ONU a refusé la reconnaissance. La ligue Arabe a appelé Washington à annuler la reconnaissance. L'Organisation de la Coopération se réunira demain en Turquie pour contrecarrer la reconnaissance par Washington d'El Qods colonisé capitale d'Israël.