Le président américain a déçu les communautés mondiale et américaine, en soutenant le prince d'Arabie saoudite, accusé d'avoir ordonné le meurtre du journaliste opposant, Jamal Khashoggi. Dès le premier jour du meurtre du journaliste opposant, Jamal Khashoggi, le président américain, qui a de grands intérêts financiers avec l'Arabie saoudite, cautionne le prince ben Salmane, malgré les preuves attestant son implication dans le meurtre. Le président américain confronté par la CIA et l'opinion publique, a été contraint de parler du meurtre de Khashoggi, et promis de dire, mardi, qui a tué le journaliste. Le monde souhaitait que le président américain oublie ses intérêts financiers avec l'Arabie saoudite et dise la vérité. C'est la déception, puisque le président, qui n'a pas pu innocenter le prince d'Arabie saoudite, ne l'a pas dénoncé. Il a préféré dénoncer l'Iran, tandis que ce pays n'est pas impliqué dans le meurtre. Le roi d'Arabie saoudite également, a procédé à la manœuvre, en prononçant le discours annulé, lundi, au Conseil de la Choura, et n'a pas daigné dire un mot sur le meurtre du journaliste opposant Khashoggi. Il a plutôt dénoncé l'Iran, l'accusant d'ingérence dans les pays de la région, et de soutien au terrorisme, oubliant que c'est l'Arabie saoudite qui est accusée de soutien aux terroristes, dont ceux combattant le gouvernement légal de Damas. Le roi a adressé le discours au président américain pour lui dire : «Nous vous soutenons contre l'Iran et vous nous soutenez pour le meurtre du journaliste Khashoggi». C'est alors que le président américain a réitéré le soutien au prince d'Arabie saoudite dans le meurtre de Khashoggi. Une politique dénoncée par de nombreux pays. L'Arabie saoudite peut considérer être cautionnée par Washington pour la continuité des crimes au Yémen. La Turquie n'est pas satisfaite par le niveau de coopération de l'Arabie saoudite dans l'enquête sur l'assassinat de l'opposant saoudien, Jamal Khashoggi, et pourrait demander une intervention des Nations unies, a dit le ministre turc des Affaires étrangères. La Turquie a compris que l'Arabie saoudite ne souhaite pas que la réalité concernant le meurtre du journaliste opposant Khashoggi soit rendue publique, et ça veut dire que le prince est impliqué. Le prince saoudien est accusé par la CIA d'être impliqué dans le meurtre de Khashoggi. La Turquie accuse le prince d'Arabie saoudite d'avoir donné l'ordre du meurtre du journaliste opposant. La tâche du président américain d'innocenter le prince saoudien était d'autant plus difficile que le Washington Post avait divulgué des informations, selon lesquelles la CIA était convaincue de la culpabilité du prince hériter saoudien, Mohamed Ben Salman dans ce crime, ce que confirment toutes les informations rendues disponibles par la Turquie. Un média écrit qu'on hésite à qualifier ce texte du président américain : cynisme, arrogance, mépris de la vérité, mais une chose est sûre, il fera date dans les annales de l'histoire de la diplomatie. Le meurtre de Khashoggi et de milliers de civils morts au Yémen sont cautionnés par Donald Trump. Le président américain a accusé l'iran, au lieu de dénoncer le prince d'Arabie saoudite pour le meurtre de Khashoggi, et les crimes de guerre commis contre les civils au Yémen. Il a dit que l'iran déstabilise l'Irak, et mène une guerre contre l'Arabie saoudite au Yémen. On pourrait rappeler bien des faits que le président semble oublier : que c'est l'Arabie saoudite qui a déclenché la guerre contre le Yémen ; que c'est l'intervention américaine en Irak qui a déstabilisé le pays, écrit un média. L'histoire retiendra que le président américain a cautionné le meurtre de milliers de civils au Yémen, et celui de Khashoggi.