Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a estimé, quant à lui, que la priorité était d'obtenir la réouverture des points de passage de la bande de Ghaza, contrôlés par Israël. «La situation aux passages frontaliers est intolérable», a-t-il indiqué, relevant que «les travailleurs humanitaires ne peuvent pénétrer» dans l'enclave palestinienne, six semaines après l'agression militaire israélienne sur ce territoire (27 décembre 2008-18 janvier). Il a souligné que les «biens essentiels ne pouvaient entrer» dans la bande de Ghaza, alors qu'Israël se refuse toujours à lever son blocus. Le chef de l'Onu a apporté son soutien aux «efforts de l'Autorité palestinienne et à sa direction pour reconstruire» Ghaza, soulignant la nécessité d'une «réconciliation palestinienne».