Suite à notre article sous le titre : «Le P/APC de Béni Zmenzer chahute l'hymne national», paru dans l'édition du mardi 7 avril 2015, le P/APC nous écrit pour répondre aux accusations des élus de la commune de Béni Zmenzer. «S'agissant du reproche sur l'hymne national, voici ce que stipule le règlement intérieur de la commune dans son article n°11 : l'ouverture de la première session de l'année et la clôture de la dernière session de la même année se font avec l'hymne national. La session du samedi 7 avril est la deuxième du genre, puisqu'une assemblée s'est tenue le 10 janvier 2015, à la demande des deux tiers des élus, session qu'ils ont boycottée. Le motif de leur boycott est la présence des citoyens», écrit le P/APC de Béni Zmenzer dans un droit de réponse et d'ajouter «l'hymne national n'est qu'un argument fallacieux destiné à tromper les citoyens présents, car n'ayant absolument rien trouvé de mieux à contester dans notre gestion. L'enregistrement de l'hymne national a été ramené dans un téléphone appartenant à une personne étrangère à l'APC, faisant partie d'un groupe oisif, dont la seule occupation quotidienne consiste à trouver des solutions pour bloquer la commune. Pour preuve, l'élu ayant mis à l'écoute l'hymne national tâtonnait pour arrêter le téléphone. Contrairement à ce qu'avancent ces élus, aucun n'a chanté l'hymne national, et aucun élu n'a parlé d'écharpe». Le même P/APC conclut en écrivant : «Nous avons certainement commis des erreurs et nous commettrons probablement d'autres, mais ce dont nous sommes sûrs, c'est de notre probité et de notre intégrité morale.»