«Personnellement, je considère que l'industrie algérienne n'est pas la quincaillerie. J'avais ce sentiment, même si on constate aujourd'hui que l'industrie algérienne ne contribue pas assez au produit intérieur brut. Incontestablement, il existe une infrastructure qui mérite certainement une mise à niveau. Nous avons un savoir-faire et beaucoup de compétence. Il faut développer l'industrie algérienne. C'est impératif», a indiqué hier le ministre de l'industrie dans son point de presse. Il faut avouer que l'industrie algérienne a été détruite en partie par les importations et les plans du FMI.