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Deux rayonnants qu'un désolant
Divorce
Publié dans Le Temps d'Algérie le 25 - 09 - 2010

La vie d'un couple peut basculer à tout moment. La femme n'est pas heureuse. Elle réclame le divorce. L'homme n'est pas content. Il veut se séparer. Mais cette fois-ci, la séparation a eu lieu sur insistante du papa qui a voulu préserver l'équilibre des trois enfants très beaux.
Et pour ce faire, il a eu l'idée lumineuse de se désister du domicile un trois pièces cuisine au non de son ex qui aura plus tard l'indélicatesse de mentir à ses enfants et les informer que le logement n'a jamais appartenu à leur père. Ce dernier pour ne pas perdre l'affection de ses enfants en créant un concept dur mais nécessaire. Pour les enfants, il vaut mieux deux foyers rayonnants qu'un seul désolant.
Abdessâmie venait de boucler ses trente-cinq ans, le 1er juin, le jour de son divorce d'avec Mounira, de quatre ans sa cadette et mère d'une fillette de trois ans et demi. Avec une maman veuve et mère de sept enfants dont une fille de treize ans, Abdessâmie avait un bon poste d'enseignant en histoire-géo.
Mais le voilà avec ses histoires avec son ex qui lui refusait le droit de visite les week-ends de neuf heures à dix-sept heures, et les vacances plus tard.
Et comme un malheur ne vient jamais seul, il rencontra Fadila, des services du contrôle des prix de la wilaya. Et comme pour la ligoter, il fit coup sur coup trois enfants. «C'est pour la tenir et la retenir. Le pire c'est que si Mounira était sotte, la seconde, ambitieuse cupide, menteuse et n'aimait pas trop sa famille. Le malentendu restera dans le couple et les trois enfants allaient grandir sur une pente dangereuse.
Un après-midi, il invita un ami commun, Rachid et tint des propos qui parurent faire descendre une montagne : «Fadila, j'ai bien réfléchi. Nous ne pouvons pas continuer à vivre ensemble. Je dois sauver mes enfants, les éloigner du chahut quotidien, des cris, des coups réciproques et que sais-je encore.
Rachid pleura sur le coup. Il connaissait ses deux amis et c'est la première fois que Abdessâmie avait la voix cassée et l'oeil larmoyant. Fadila, elle, était en train d'examiner le dernier bracelet en or acheté la veille, qu'elle devait revendre à son amie Nouria, l'infirmière.
«Et au nom de quoi veux-tu que nous nous séparions ? demande sans ton madame visiblement sûre du geste de désespoir de son déjà ex-mari. Ce dernier se pince les lèvres sort le bout de la langue et dit sentencieusement. Rachid et Fadila, écoutez-moi bien.
J'ai décidé de quitter le domicile familial que je laisse à mes trois enfants encore trop jeunes pour comprendre les aléas de la vie. Et maintenant si vous tenez à ce que je vous dise au nom de quoi, je vais m'en aller d'ici tout simplement pour les enfants, pour la stabilité de la famille.
J'ai raté mon but et bien je ne raterai pas leur équilibre : alors, pour les enfants il vaut mieux deux foyers rayonnants qu'un seul désolant. En semaine, ils seront avec toi Fadila et en week-end avec moi. Vous verrez cela va marcher et très bien pour leur équilibre.»


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