Plusieurs pétitionnaires ont accusé le Maroc de poursuivre ses violations des droits de l'homme contre le peuple sahraoui, appelant à la mise en place d'un mécanisme de protection de ces droits, lors de leurs interventions devant la Commission des questions politiques spéciales et de la décolonisation (quatrième commission). De nombreux pétitionnaires ont, ainsi, dénoncé l'«occupation illégale» du Sahara occidental par le Maroc, les violations systématiques des droits de l'homme, et le fait que les «troupes d'occupation marocaines» répondent à l'«Intifada pacifique sahraouie» par la «répression féroce» d'un peuple qui revendique la tenue d'un référendum lui permettant de décider de son propre destin.