Des jeunes recrutés dans le cadre des différents dispositifs mis en place par les pouvoirs publics afin d'absorber un tant soit peu le chômage à travers l'action sociale, comme le CID, PID, DAIS, DAIP, CIP, initiés par l'action et l'ANEM, grincent des dents. Pour montrer leur colère face à leur situation précaire, un groupe constitué de plus d'une trentaine de personnes, pour la plupart des universitaires, a lancé un appel pour l'organisation d'un sit-in demain, dimanche 13 février, devant le siège de la wilaya. Cette action de protestation se veut être un moyen de pression pour exiger leur régularisation.