La 14e édition du Salon de l'automobile d'Alger se tiendra du 17 au 27 mars, a annoncé hier au Palais des expositions (est de la capitale), le président de l'Association des concessionnaires automobiles algériens (AC2A), Mohamed Baïri. Le prochain Salon de l'automobile, considéré comme un rendez-vous incontournable pour les amateurs des deux-roues, aura lieu du 17 au 27 du mois en cours. 40 participants sont attendus à cette manifestation, dont 29 concessionnaires, 2 sociétés de tunning et d'accessoires, ainsi que 3 sociétés d'assurances et d'assistance. Le salon est ouvert au grand public durant cette dizaine de jours de 11h à 19h. Selon le président de l'AC2A, Mohamed Baïri, également président d'Ival (distributeur de Fiat, Iveco et Mazda), «90% des concessionnaires présenteront au moins un ou deux nouveaux modèles lors de cette 14e édition». De son côté, le président de Peugeot Algérie, Marc Bergerreti, a indiqué que «durant la manifestation, il sera présenté des voitures respectueuses de l'environnement». Les organisateurs du Salon de l'automobile ont annoncé la création, pendant cette manifestation, d'espaces d'expositions permanents traitant de la prévention et de la sécurité routière, du contrôle technique automobile, du code de la route et des écoles de formation automobile. Dans le même sillage, se tiendront des conférences thématiques portant sur le secourisme et les moyens de première intervention, le rôle des assurances, les réseaux autoroutiers et l'impact sur la prévention des accidents de circulation. Des espaces d'animations médiatiques seront créés. Ils seront dédiés à la promotion de la sous-traitance nationale et à la promotion des investissements dans le secteur automobile et mécanique, à la maintenance et à la lutte contre la contrefaçon. Des sociétés ont de même réservé des stands pour la présentation de pièces détachées d'origine. Les jeunes, pour leur part, auront à sillonner les stands d'orientation pour bénéficier de bourses de projets, afin d'encourager la création de PME. Pour finir, M. Baïri regrette néanmoins «le manque de communication entre les concessionnaires et les pouvoirs publics». «Nous n'avons pas été consultés par l'Etat dans l'éventualité d'installations d'usines de montage de voitures», a-t-il indiqué.