Les dégâts causés par les réacteurs nucléaires nippons n'ont pas empêché d'autres pays de vouloir développer l'énergie nucléaire. C'est le cas de l'Algérie. Le ministre de l'Energie et des Mines a annoncé la continuité de son programme nucléaire. «L'Algérie n'a pas d'autre alternative que de recourir à long terme à l'énergie nucléaire pour la production d'électricité», a-t-il indiqué devant les membres de la commission économique de l'Assemblée nationale. Le ministre a ajouté que «l'Algérie doit se préparer pour ce choix». Un tel choix demande du temps, entre 10 à 15 ans pour les études en vue de la construction de la première centrale électrique fonctionnant au nucléaire.