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Le SNMG à 18 000 dinars ne sera pas appliqué par toutes les entreprises
Selon le président de la Cipa (patronat)
Publié dans Le Temps d'Algérie le 07 - 10 - 2011

En dépit de son annonce officielle à l'issue de la tripartite, l'augmentation du SNMG à 18 000 dinars ne sera pas forcément appliquée par tous les employeurs, notamment ceux du secteur privé.
«Nous ne sommes pas contre la hausse du SNMG ni des salaires mais à condition que les entreprises disposent de fonds suffisants pour pouvoir appliquer cette mesure.
Il est malheureux de dire que ce ne sera pas le cas pour tous», a affirmé Abdelaziz Mehenni, président de la Confédération des industriels et producteurs algériens (CIPA). Pour lui, la mesure de rééchelonnement de la dette des entreprises privées n'a pas été généralisée à toutes les unités de production, ce qui fait que certaines entreprises vont continuer à faire traîner ce fardeau lourd de la dette et ses conséquences.
«Le gouvernement a dit que ce serait au cas par cas, ce qui est contraire aux attentes des entreprises qui veulent en finir avec ce problème pour pouvoir entamer une phase nouvelle. Leur imposer cette contrainte ne peut pas les libérer et leur permettre d'appliquer les décisions gouvernementales favorables aux travailleurs car elles n'ont pas la capacité de le faire», a-t-il expliqué.
Toujours à ce propos, la confédération a émis plusieurs réserves sur l'application de la mesure prise à l'issue de la tripartite du 28 mai passé, jugeant que son application est entourée de plusieurs ambiguïtés. Promettant un effacement de 100% des intérêts des dettes contractées par les entreprises privées, les banques entament l'application d'un rééchelonnement à 50% des intérêts pour 50 dossiers traités des entreprises qui avaient demandé le rééchelonnement de leur dette depuis longtemps.
«Quels sont les critères d'application de cette mesure ?» s'interroge Abdelaziz Mehenni qui exige l'identification des entreprises concernées. Afin de mettre fin aux multiples blocages qui entravent l'application juste de cette décision gouvernementale, la CIPA demande à «ce que cette opération se fasse sous le contrôle du Trésor public en la présence de commissions paritaires où figurent les représentants des entreprises concernées».
Pour cette organisation patronale, la façon dont est gérée cette opération est loin d'aboutir à un règlement définitif de la question dans la mesure où elle risque «d'entraîner des conflits sans fin puisque les banques ne peuvent pas régler sereinement des situations de blocage
où elles sont partie prenante. Le président de la CIPA réitère sa demande pour la mise en place d'«un plan Bouteflika», pour sauver le tissu productif algérien résiduel devenu un véritable cimetière industriel. «Au lieu de créer 200 000 unités nouvelles, il faut s'intéresser à celles existant déjà.
Il suffit d'entamer une opération de mise à niveau financière, technique et managériale pour les mettre sur les rails. C'est très efficace. Ça prendra moins de temps et beaucoup moins de moyens financiers», a-t-il expliqué. Ces unités, en voie de fermeture, représentent des secteurs stratégiques.


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