Les travaux du sommet sur la sécurité nucléaire ont débuté hier à Séoul avec la participation d'une soixantaine de chefs d'Etat, de gouvernement et de dirigeants et représentants de différents pays, dont le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah en qualité de représentant du président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Les dirigeants des Nations unies, de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), de l'Union européenne, ainsi que ceux d'Interpol participent à ce sommet qui en est à sa deuxième édition après celui de Washington en 2011. Le sommet a débuté par une cérémonie de bienvenue au cours de laquelle le président Lee Myung a accueilli les participants un par un. Ce sommet de deux journées a inscrit à son ordre du jour la préservation de la paix et la sécurité dans le monde à travers la prévention du terrorisme nucléaire. Après la cérémonie, il est prévu que les dirigeants soient invités à un dîner de travail au cours duquel ils devraient évaluer les premiers résultats de la mise en œuvre des engagements pris par les Etats, lors du premier sommet, tenu à Washington en 2010. Le deuxième et dernier jour de ces assises prévoit deux sessions qui seront consacrées aux interventions des participants avant d'adopter le communiqué final de Séoul. Ce communiqué devrait inclure des moyens «d'éliminer ou réduire au minimum» les matières nucléaires utilisées dans des armes, renforcer la protection physique des installations nucléaires et bloquer le trafic illicite des matières nucléaires et radioactives, ont indiqué les organisateurs.