Le vice-président de l'USM Alger, Rebbouh Haddad, estime que les sanctions de l'instance dirigeante de la compétition sont «légères». «Il s'agit de sanctions légères, qui ne traduisent pas l'enfer que nous avons vécu à Saïda. Franchement, je m'attendais à plus», affirme le responsable des Rouge et Noir.