Il y a quelques années, la médecine a identifié les causes principales des maladies cardiovasculaires : l'obésité, le cholestérol et le tabac. Comment prévenir cette maladie et quelles sont les mesures à prendre pour vaincre ces facteurs de risque cardiovasculaire ? L'abus de graisse est la première cause. Les personnes souffrant d'une surcharge pondérale sont plus exposées à ces maladies que les personnes ayant un poids normal. Il est conseillé de surveiller sa ligne, en mangeant moins et en faisant du sport. C'est la manière la plus simple d'éviter une fatigue du muscle cardiaque. Car en développant celui-ci par des exercices physiques réguliers, on lui donne une réserve de puissance : «Un cœur musclé travaille plus longtemps sans défaillance et envoie plus de sang dans l'organisme», selon le diététicien nutritionniste français Nicolas Rousseau. Le cholestérol L'excès de cholestérol obstrue les artères. Une bonne hygiène alimentaire est conseillée durant toute notre vie. Elle est impérative pour les personnes atteintes de ces maladies. Par titre de prévention, cette hygiène suffit pour diminuer le taux de cholestérol trop élevé. Il est vrai que les acides gras sont bénéfiques pour la santé, mais une fois saturés, ils se transforment en de mauvaises graisses. Ces dernières proviennent des graisses animales : beurre, crème, charcuterie, viandes, laitages entiers, fromage… sans oublier les aliments industriels tels que les sauces conservées, les biscuits et gâteaux, les sucreries et confiseries… Donc, si on limite ce type d'aliment, on pourra surveiller notre taux de cholestérol. Il faut opter pour les aliments à fibres (légumes et légumineuses, fruits, poissons, huiles végétales telles que l'huile d'olive, de noix, de soja…). Il est important aussi de mentionner le danger du sel marin ou iodé qui met les artères sous pression. Le tabac Ennemi du cœur, la cigarette augmente les risques de maladies cardiovasculaires. Il est vrai qu'écraser définitivement sa cigarette n'est pas toujours facile. Mais il n'est jamais trop tard pour mettre toute la volonté du monde pour prolonger sa longévité.