Le dernier délai, fixé pour les Sociétés de gestion des participations (SGP), pour remettre leurs plans d'action respectifs, est prévu pour samedi prochain. Au-delà de n'importe quel état des lieux que les SGP comptent établir, leurs plans d'action, prévus ce 15 mars, peuvent achopper sur l'absence d'une vision stratégique économique globale, qui, à ce jour, semble toujours faire défaut. Le dernier délai, fixé pour les Sociétés de gestion des participations (SGP), pour remettre leurs plans d'action respectifs, est prévu pour samedi prochain. Toujours est-il, quelles «mesures» comptent prendre les 28 SGP aussi bien en matière de redressement, partenariat, ouverture de capital, voire délestage, à l'égard des entreprises publiques, relevant de leur portefeuille? «Trop tôt pour le dire» , nous indique-t-on, tout en ajoutant, au passage, que «celle-ci sera en synergie totale avec la dernière note d'orientation du Chef du gouvernement (président des participations de l'Etat) qui leur a été adressée». En attendant d'en savoir plus, il ne serait nullement prématuré d'anticiper, un tant soit peu, les contenus des 28 plans d'action, même si ces mêmes documents feront, éventuellement, par la suite, l'objet de «plans par branche», voire «de plan d'action global». L'état des lieux du secteur public, sous «surveillance» des SGP, a déjà été fait, lors d'une rencontre, datée du 15 décembre 2002, entre le Mppi, les SGP et l'Ugta. Cette évaluation a touché deux exercices. Des communications ont été faites par groupe d'activité, au nombre de six. Que nous disent, justement, ces «évaluations» de portefeuille?