A l'occasion de la Saint-Valentin, Karim a «roulé» complètement pour les amoureux en leur offrant un délicieux concert en acoustique... Lumière tamisée, bougie étincelante sur la table, carte rouge en forme de coeur sur laquelle on peut lire la fameuse pensée de Saint-Exupéry: «Aimer ce n'est pas se regarder dans les yeux mais regarder ensemble dans la même direction». Ce soir, les amoureux sont à l'honneur. Dans une ambiance chaleureuse, intime, le restaurant Chréa de l'hôtel Mercure fête la Saint-Valentin. On pense à tout, même la cuisine, un menu spécial préparé pour la circonstance est en forme de coeur. Qui donc mieux que Karim Albert Kook, ce charismatique musicien au coeur tendre pour accompagner les tourtereaux dans leurs douces mélodies du bonheur, dans leurs épiques déclarations susurrées comme une lente caresse à l'aune d'une chandelle. Accompagné de sa fidèle et éternelle muse, la guitare et épaulé par l'excellent bassiste Redouane, Karim Albert Kook nous fait voyager au coeur de la Louisiane, de la chaleur humide des champs de coton, avec sa «craquante» voix émaillée. Un blues qui chante l'amour de l'autre, le supplie de rester, de lui faire confiance...un blues incandescent, flamboyant qui se passe de fioritures. Acoustique. Un cri qui vient des tripes, sensuel et majestueux. Le roi Karim, porte haut la flamme de l'amour qui sommeille ou danse à l'intérieur de chacun de nous. Inès, autre belle sirène à la voix d'or et au regard émeraude achève de nous plonger dans la rivière de l'amour. Inas lumineuse dans sa tenue de star, illumine encore plus la scène. Le duo Inès-Karim forme un beau tandem. «La charmeuse du serpent» titre de Karim (il figure sur son dernier album «Barbès city blues») est repris avec finesse. Inès rayonne, glamour et reprend les standards «Stand by me» ou encore «Fever». Un slow languissant pour trois couples frémissants qui n'hésitent pas à venir occuper la piste de danse. Seuls. Ils sont seuls au monde. L'amour donne des ailes, l'envie d'abattre des murs et de voler vers d'autres horizons, sur un nuage rose...Redouane est à l'harmonica. Le blues prend un ton supérieur, plus punchy. Audacieux, espiègle, Karim et Inès interprètent le titre phare «Barbès city limit blues». «C'est le moment je crois de suivre la flamme (...) tu sais combien tu comptes pour moi...». La musique voyage. Ensorcelante, elle gonfle les coeurs. No limit en amour. C'est une nouvelle histoire qui commence...