Deux mois après les actes de violence fasciste ayant causé la mort de 11 révolutionnaires, le ministre du Pouvoir populaire vénézuélien pour les Relations extérieures, Elías Jaua Milano, a annoncé qu'il exposera devant la Commission des droits de l'homme de l'Organisation des Nation unies les faits violents qui ont eu lieu les 15 et 16 avril dernier. Dans un communiqué de l'ambassade de la République bolivarienne du Venezuela à Alger, le ministre Milano a rappelé que ces faits ne doivent pas tomber dans l'oubli. «Nous sommes obligés de rompre le silence des grands médias qui les protègent de leur responsabilité dans les assassinats politiques», a-t-il assuré. Il rend un grand hommage aux martyrs des actes de vandalisme perpétrés contre le nouveau Président, Nicolás Maduro Moros, élu à 50.66%.