le ministre, accompagné de madame Bouzid, inaugure la partie d'extension annexée à la clinique. Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Mourad Redjimi, s'est rendu, avant-hier, à la Clinique Bel Air et à l'hôpital de Birtraria où il a inspecté plusieurs pavillons sanitaires. A 8 heures 10 minutes, le ministre arrive à la Clinique de chirurgie infantile de Bel Air, baptisée désormais, au nom du professeur Ali Bouzid. Ainsi, le responsable de la clinique rappelle les grands travaux du défunt qui était en 1967, docteur en médecine et en 1970 maître assistant en chirurgie. Dix ans plus tard, Ali Bouzid est devenu professeur titulaire en chirurgie pédiatrique. Entre 1981 et 1983, le professeur occupe le poste de président de la société de chirurgie. En juin 1989, il est désigné directeur général de la santé au ministère de la Santé pour une période de 2 ans. Sur les lieux, le ministre, accompagné de madame Bouzid, inaugure la partie d'extension annexée à la clinique. D'après un médecin en pédiatrie, «27970 consultations ont été effectuées durant l'année 2003». Un autre, surveillant médical, dira que «la clinique fonctionne convenablement et il n'y a pas de grands problèmes». Toutefois, un autre surveillant médical révèle que «le laboratoire prévu dans cette extension n'est pas fonctionnel par manque d'équipements». Sa collègue, psychologue clinicienne, souhaite le renforcement les moyens pour la prise en charge psychologique des enfants. Par la suite, Redjimi s'est dirigé vers le pavillon des consultations et des urgences à l'hôpital Birtraria. D'une capacité d'accueil de 60 lits en plus du rez-de-chaussée et des 3 blocs opératoires, cette structure a été rénovée et renforcée par 3 lits pour les urgences et 4 pour la réanimation. En outre, le chef de l'unité indique que le pavillon est doté d'un nouveau bloc opératoire pour les maladies aseptiques. Pour la chirurgie générale des adultes, 77 lits sont disponibles. Sur un autre registre, le même interlocuteur déclare que 1500 à 2000 malades sont traités par mois. Poursuivant sa virée, le ministre s'est rendu au service pédiatrie de l'hôpital il a consulté les différents bureaux. Dans le même service, Redjimi s'est entretenu avec une mère qui accompagnait son fils hospitalisé. Ainsi, elle déclare qu'elle est venue de Blida et qu'elle a passé 4 jours avec son fils. Interrogée sur les charges hospitalières, la maman avoue qu'elle n'a pas payé car les enfants de moins de 5 ans sont dispensés des frais de la prise en charge.