Les forces russes stationnées en Syrie, en soutien au président Bachar al-Assad, ont procédé mercredi à leur premier bombardement aérien près de la ville de Homs, en partie tenue par des rebelles, selon un responsable américain. "Les Russes nous ont prévenus qu'ils allaient commencer leurs frappes", a indiqué ce responsable de la défense américain. Les Etats-Unis sont à la tête d'une coalition qui depuis plus d'un an bombarde les positions du groupe Etat islamique en Syrie et en Irak. Le Labour prêt à voter en faveur de frappes Le Parti travailliste britannique (opposition) a adopté mercredi une motion en faveur d'un vote au Parlement autorisant, sous conditions, des frappes en Syrie contre le groupe Etat islamique (EI), malgré l'hostilité de son nouveau leader Jeremy Corbyn. La motion adoptée à la quasi unanimité par le Labour, réuni en congrès à Brighton (sud de l'Angleterre), pose comme préalable aux bombardements une "autorisation claire et sans ambiguïté" des Nations unies.