img src="http://www.lexpressiondz.com/img/article_medium/photos/P160309-18.jpg" alt=""L'initiative du consensus national est toujours en vigueur"" / Selon Nebbou, le projet de société du Front des forces socialistes est loin d'être incomplet, il repose sur le volet politique, social, économique et culturel. «Le consensus national est le seul moyen salutaire, notamment dans le contexte actuel.» Une telle déclaration phare a émané hier du premier secrétaire général par intérim Mohamed Nebbou qui a animé un rassemblement dans la salle des conférences appartenant à l'hôtel Al Azhar, mitoyen de l'hôpital d'Oran. Le vieux parti de l'opposition, le Front des forces socialistes, a opté pour la wilaya d'Oran en vue de célébrer la Journée internationale de la femme en lui donnant un cachet national. Pour ce faire, il a mobilisé et dépêché sa grosse cylindrée, en l'occurrence la personne de son premier secrétaire général par intérim Mohamed Nebbou. Il dira que «l'initiative lancée par le Front des forces socialistes, reposant essentiellement sur la prise en compte du consensus national et de sa construction, est toujours en vigueur». Mohamed Nebbou est allé loin dans son speech. En argumentant le projet du vieux parti de l'opposition, il a invité tous les acteurs de la politique nationale «à adopter ce projet», le prendre comme référence de base, qui est, selon lui, «salvateur». Les partisans d'un tel idéal, à leur tête l'initiateur, le FFS, ne se lassent pas en défendant, tout en avançant une armada d'arguments, le projet politique, qui selon les cadres du parti, est réunificateur. Le premier secrétaire général par intérim du FFS n'a, au fur et à mesure du développement du projet et ses avantages, pas toute de même écarté l'idée de relancer de nouveaux rounds de contacts et de rencontres en vue d'avancer dans le projet de la construction du consensus national. Pourquoi donc tenir avec acharnement à un tel projet pour lequel quelques formations politiques ainsi que le pouvoir ont été frileux lors de sa proposition la première fois? Mohamed Nebbou revient loin dans l'histoire en énumérant les prises de position de son parti qu'il juge «salutaires» pour le pays. «Le FFS a, depuis sa création et à plusieurs reprises, pris part dans le dénouement de lancinantes crises politiques qui ont marqué l'Algérie, à commencer par sa participation dans plusieurs élections», a expliqué Mohamed Nebbou. La rencontre a été placée sous le thème «les luttes de la femme algérienne pour son émancipation et son engagement en faveur de la liberté et de la démocratie». Fidèle aux traditions de la formation du défunt Dda l'Hocine et ses principes, Mohamed Nebbou n'est pas allé avec le dos de la cuillère en plaidant la cause féminine tout en n'omettant pas au passage d'agrémenter son discours par la présentation, encore une fois, du projet de société véhiculé par le Front des forces socialistes. Selon Nebbou, le véritable projet de société est véhiculé par le Front des forces socialistes. Ce projet est loin d'être incomplet étant donné qu'il repose essentiellement sur tous les volets, en l'occurrence le volet politique, social, économique et culturel. Le Front des forces socialistes a amplement occupé le terrain et la scène politique nationale en se déployant un peu partout dans plusieurs villes et agglomérations du pays à l'occasion de la célébration de la Journée internationale de la femme qui coïncide avec le 8 Mars. En plus de la ville d'Oran qui abrité l'événement majeur de la formation du défunt Hocine Ait Ahmed, le FFS a multiplié sa présence en cette journée du 8 Mars en ouvrant les portes du siège de la Fédération d'Alger, pavoisée par des expositions, projections vidéo suivie de prise de parole. A Tizi Ouzou, les festivités ont été organisées au niveau de la salle des fêtes de la commune des Ouadhias. La section de la wilaya de Béjaïa a préféré organiser une réception en l'honneur des femmes de la région tout en lançant des opérations de solidarité envers les femmes en détresse de la wilaya. Cette pléiade d'activités a été marquée également par la visite rendue aux femmes âgées de la maison de repos ainsi que la maternité de Béjaïa.