mais il n'y a "pas d'éléments formels" sur une menace pour Noël, même s'il y a "un risque", estime le Directeur général de la Police nationale (DGPN) Jean-Marc Falcone, dans un entretien au Journal du Dimanche. "Nos services de renseignement analysent quotidiennement l'état de la menace. Depuis plusieurs mois, celle-ci reste très élevée, en France comme dans les pays européens qui participent à la coalition (contre l'organisation terroriste autoproclamée Etat islamique). Après l'expérience, hélas, de l'attentat de Nice (NDLR: le 14 juillet 2016 dans le sud de la France), l'attaque de Berlin nous confirme qu'il faut mettre en place un dispositif de sécurité de haute intensité, à la fois actif et passif, sur les grands rassemblements", explique M. Falcone dans le journal français paru ce samedi.