Le célèbre journaliste et écrivain français Jacques-Marie Bourget, bien connu dans les cercles journalistiques et médiatiques au niveau international, a tiré à boulets rouges sur ce qui est appelé, communément, comme une organisation non gouvernementale, à savoir Reporters Sans Frontières (RSF). Jacques-Marie Bourget n'y est pas allé avec le dos de la cuillère pour faire dans la déconstruction en bonne et due forme de la nébuleuse aux accointances avérées avec «un réseau affairiste, opportuniste et égoïste à la solde de puissances occultes», a-t-il rétorqué. Cette déclaration coupe court avec le label fallacieusement entretenu par des sphères aux objectifs sordides. Jacques-Marie Bourget dit haut ce que beaucoup de gens dans le monde politico-médiatique en général et en France en particulier le pensent tout bas. La messe est dite à qui veut l'entendre, Reporters Sans Frontières est une organisation non seulement à la solde d'un Etat, mais plus que ça, elle obéit à un agenda bien conçu par des officines étrangères. Cette «ONG» a fait preuve d'une versatilité des plus mortifères et macabres en Algérie, en recourant à un jeu scabreux en se montrant comme une organisation non gouvernementale et indépendante de toutes influence et inféodation. Elle s'est permis le droit de fourrer son nez dans les affaires du pays en utilisant sournoisement l'argutie de «la liberté d'expression» pour défendre l'un des siens au nom des droits de l'homme et du principe de la liberté au goût fumeux et pernicieux.Cette organisation qui active sous un mentorat en connivences avec des nébuleuses où le lien est intrinsèque avec les services de renseignements appartenant aux puissances étrangères, comme c'est le cas de la CIA. Son rôle consiste à s'introduire dans les pays qui dérangent la politique de mainmise et d'hégémonie à outrance des forces impérialistes occidentales et leurs alliés connus pour leur vassalité rampante. Cette organisation digne d'une nébuleuse a poursuivi en justice des journalistes en France, à savoir Taha Bouhafs qui exerce comme journaliste pour «Le Média» et Gaspard Glanz de «Taranis News». Le paradoxe de cette nébuleuse nommée RSF est le fait qu'en Algérie, elle se fait présenter comme une association qui défend la liberté d'expression, mais chez elle, elle s'attaque à ses confrères en les poursuivant en justice. Ces deux journalistes ont été poursuivis pour leurs déclarations consistant à qualifier RSF «d'organisation qui vivrait de subventions d'Etat et qu'il serait proche du pouvoir». C'est une déclaration loin de celles de certains bien de chez nous qui se sont permis de s'attaquer à la souveraineté nationale et de calomnier les institutions de l' Etat. C'est dire que RSF est une entité qui sert comme force d'appoint pour les puissances aux feuilles de route visant l'interférence et l'ingérence dans les affaires souveraines des autres pays. Pour étayer davantage sa démarche consistant à montrer l'inféodation du RSF à des nébuleuses et des officines étrangères, le célèbre journaliste et écrivain, Jacques-Marie Bourget, pousse bien son analyse en déclarant que «le dernier avatar de cette ONG amie de l'Otan et des néoconservateurs américains le démontre: le 19 mai 2019, à Tel-Aviv en présence du président israélien, RSF a reçu le prix Dan David. C'est étonnant comme un million de dollars suffit à ramollir la morale», et d'ajouter «le 21 octobre 2000, à Ramallah, tandis qu'une balle de M16 israélien volait avec ardeur vers mon poumon gauche, j'ai eu le temps de me dire: «Bon, je vais au tapis, mais (merci le diable et Robert Ménard) Reporters sans Frontières sera là pour me relever. Très mal en point, mais même pas mort, j'ai pu constater l'incroyable soutien qu'a délivré RSF à mon endroit: rien», s'est-il exclamé. La déclaration de Jacques-Marie Bourget ne souffre pas d'ambages, il le dit clairement, cette semblant d'ONG, n'est autre qu'une vitrine de la CIA à travers ses officines comme la NED et autres organisations du genre. L'Algérie qui a connu un Mouvement populaire des plus salutaires, avait rappelé à travers les militants patriotes et les forces sociales qui militent pour l'avènement de la justice sociale et de changement pacifique et intrinsèque, que certaines nébuleuses investissent la dynamique du Hirak dans le but de l'orienter vers des logiques dont la finalité c'est de le faire coopter et l'utiliser comme bras séculier desdites forces étrangères aux visées néocolonialistes et expansionnistes. Il faut faire très attention au chant des sirènes.