À l'occasion de l'inauguration de sa nouvelle installation numérique de projection cinéma, Digital Cinema Package (DCP), l'Institut français de Constantine a eu le plaisir de renouer avec son public venu nombreux pour cette heureuse circonstance tant attendue. Ce dernier a assisté à la projection de «La vie d'après», un film d'Anis Djaâd, qui était présent ce jeudi. Mais pas avant que la directrice de l'Institut, Charlotte Aillet ne prononce une allocution de bienvenue,également pour souligner que cet évènement est considéré comme important, puisque dans son ensemble il va permettre de projeter plus de films récents avec une plus grande variété de programmes. Il s'agit en fait de l'acquisition d'un nouveau matériel de haute technologie utilisé par les cinématographes. La salle de cinéma de l'Institut français de Constantine fait, désormais, partie, a-t-elle assuré, des 65 salles que comptent les instituts français à travers le monde. Ces retrouvailles ont donc permis au public de suivre un film qui rapporte des faits sur la vie d'une femme et son enfant victime d'un mensonge. En effet, «une rumeur court à son sujet dans un village perdu en Algérie, Hadjer est forcée de fuir le village en compagnie de son fils, Djamil. La fin d'une vie paisible et le début d'une survie tourmentée dans les méandres de la grande ville. En proie au désir des hommes, Hadjer va devoir se battre pour s'extraire de leurs griffes, mais surtout préserver son fils dont les pulsions d'adolescent sonnent le péril». La femme émigre en ville pour affronter la sauvagerie des hommes et dont les faits n'ont pas été de tout repos. Une histoire que vivent les femmes au quotidien à travers le monde, ce que Hadjer à vecu n'est qu'un échantillon de ce que peut endurer une maman seule a se battre dans ce monde traitre.