Avant de commencer notre «1, 2, 3, viva l'Aljirè!», de la semaine, adressons nos plus sincères félicitations au nouveau président de la FAF, élu en 2023, le 21 septembre. Il est erroné d'affirmer que le nouveau président de la fédération a 14 mois devant lui, pour tenir parole autour de ses engagements! Il n'a en réalité que sept mois, car il ne travaillera pas H/24, sans relâche! Pourvu qu'il commence son oeuvre à partir du Championnat national, et non de l'EN, qui se porte bien, quoi qu'elle ait besoin d'une meilleure et efficace protection. Quant à ceux qui ne font que parler, ils continueront à papoter jusqu'à l'obtention par la troupe de Djamel Belmadi, d'éclatants résultats sur le terrain, malgré l'arbitrage, les coulisses, le climat, les, les, les... Nous le répéterons éternellement: «Saboteurs, hypocrites et démons de tous bords, nous sommes derrière vous, pour vous empêcher d'approcher l'EN, avec le noir dessein de lui nuire, et le temps joue en notre faveur!» Ensuite, dévoilons de suite un gros malentendu né à la suite de l'ire de Djamel Belmadi, qui a parlé d'un «traître», non pas au sein de la presse nationale, mais dans son propre entourage! Réécoutez, donc, bien comme il faut, pour comprendre l'envolée du coach national. Oui, Djamel Belmadi n'a jamais parlé d'un journaliste, mais d'un «hypocrite» dans son entourage, malgré les mille et une précautions qu'il a toujours prises au bon moment! Voilà une bévue a été donnée à tort, nous a poussés à corriger pourtant, le sympathique enfant d'Aïn Tedlès (Mostaganem) qui devrait connaître la fameuse et millénaire devise qui assure que: «Ya Allah, préservez- moi de mes amis; quant à mes ennemis, je m'en charge!» C'est fait. Cette chronique a été mûrement réfléchie, le temps de laisser la troupe de Djamel Belmadi, se reposer, et laisser les «pour» et les «contre» l'EN, s'envoyer des «gentillesses» via les inévitables et prolifiques consultants, dont une grosse partie a l'art de ne trouver, à raconter, que ce qui ne marche pas. Chercher des poux dans la tête d'un chauve, semble être le mot d'ordre de ces individus qui n'ont aucun sens civique, pour ne pas dire «sportif». Nous n'allons tout de même pas nous amuser, à jouer au «perroquet puisque c'est l'évidence même, car le foot est un spectacle». Comportements du Moyen-Âge! Oui, un fantastique et féerique jeu amusant, et non de «tueries», «séances d'égorgements» et «massacre». Que penser d'un fan qui rentre d'un stade, chez lui, la tête bandée, doublée d'un sparadrap, ensanglantée, à la suite de jets intempestifs de cailloux? Inouï! Impensable! Incroyable! Des supporters-voisins qui se battent en cours, ou en fin de partie de «bola», en 2023, reste un sombre- noir -misérable mystère, au pays du «Hirak-béni» de février 2019! Des voitures enveloppées de caillasse, lancée à l'aveuglette. Et dire que c'était là, la toute 1ère journée de football, ligue «mobilis»! Walid Sadi, le néo-président de la FAF, est averti! Et tout le nouveau Bureau fédéral, avec. Revenons au sujet du jour: «le bricolage». Que veut dire cette «électrique» position de ces responsables de l'Entente de Sétif, qui se sont séparés, au bout de quelques petites semaines de collaboration, avec un de nos meilleurs coachs, à savoir, le seigneur et fair-play entraîneur, Abdelkader Amrani, qui n'a pas voulu marcher avec un «avenant» rédigé avant minuit, «l'heure du crime». «Il avait eu un accord de carte blanche, car il connaît très bien le douteux comportement de certains décideurs dans les clubs. Mais, ce qui fait vraiment mal, c'est le recrutement du nouvel entraîneur français qui ne passera pas l'hiver à Sétif! Connaissant l'humeur des Ententistes, gare aux mauvais résultats! Les «Noir et Blanc», dignes enfants de Layasse, le «père spirituel et effectif de l'Entente», doit se mordre les phalanges du fond de l'Eden, où Allah a dû l'envoyer! La «Kahla ou Beida» des Larbi Kharchi, des frères Messaoudi, Mattem, Ferchichi, Amar Bourouba, Koussim Messaoud, El Hadj Abdelhamid Salhi, Adjissa, Abdelhakim Serrar, Reda Mattem, Boulahdjilat, et autres Abdelmoumen Djabou, est en pleine turbulence «électrique» de la «Sonelgaz» qui a choisi le projet aux dépens du résultat immédiat. Mais la grande masse des fans sétifiens, ne veut pas que les équipes moins «douées» que la très chère Entente, soit en queue de peloton! Du côté du Paradou, c'est le départ du coach Leknaoui, qui a fait jaser. À Oran, Kheir-Eddine Madoui s'en va, effectue un p'tit tour, puis revient, pour une p'tite défaite contre le détenteur de la coupe d'Algérie, édition 2023. À l'est du pays, c'est le profond sommeil: pas de fric, pas de volonté ni de volontaires, bénévoles ni d'oppositions tous azimuts, rien que des fans qui se morfondent sur le sort de l'Espérance de Guelma, de l'US Tébessa, de l'USM Aïn El Beïda, du MO Constantine de l'ASA M'lila, la JJ Azzaba, de la JSM Skikda, ES Souk Ahras, MSP Batna, US Sédrata, la JBAC et autres AS Khroub, Ksar Essebaïhi... C'est ainsi que l'actuelle génération ne saura jamais l'avenir immédiat des clubs chéris des pères et grands-pères, qui ont été gâtés, il y a de cela, trente ans! Les seules grandes actions que garderont nos petits-enfants, commenceront et finiront aux jets de pierres, et caillassage des voitures. Le temps d'un orage C'est triste, frustrant, et même, malheureux mais c'est comme cela. La seule satisfaction, c'est la bande à Djamel Belmadi, qui de trimestre à un autre, nous émerveille le temps que l'orage, soulevé par les tenaces anti-Djamel, passe. Walid Sadi l'a dit et répété, le temps de la joie, d'une élection à la tête de l'instance fédérale, que «notre foot a besoin de toutes les énergies pour un avenir meilleur». Il aurait pu ajouter que le fric et son enfant illégitime, la corruption, devraient foutre le c... pour laisser la place à l'intégrité, et au plaisir! Une équipe visiteuse agressée, devrait être «récompensée» par le gain d'office du match, souvent perdu avec la complicité des referees! Nous avons, comme exemple, le MC Alger de l'année 2018, qui a été victime d'un véritable traquenard dans l'antique Cirta, ou l'an dernier, où il a laissé pas mal de points, par la faute de mauvais arbitres, voire d'inconscients hommes en noir protégés par une superpuissance invisible! Et il n'y avait pas que le Doyen! Et alors?