Dakar, le 12 septembre 2023: Djamel Belmadi venait d'arracher une petite, mais, ô combien, précieuse victoire devant une très grande équipe sénégalaise! Cette victoire va faire beaucoup de bien au groupe, aux fans et du mal aux antitout, de ce qui est bien! Bien entendu, il y a eu des grincements au sein de la formation de Belmadi, qui a dû les relever. Curieusement, il n'y avait pas par hasard, les certains, prolifiques et (grands) commentateurs et anciennes gloires du foot national, pour dire un mot «gentil» en direction d'un onze, qui venait de terrasser les Sénégalais dans la «maison» même! Il y avait là, des gamins tout de vert vêtus, qui galopaient aux quatre coins d'un terrain «ennemi», ou chantaient, dansaient, riaient, attendaient une victoire écrasante, à la limite de l'humiliation des Verts. Les fans des Lions de la Téranga auraient alors, largement festoyé le gros et humiliant gain du match, contre les Verts, jusqu' à une heure avancée du matin. Des «lions, devenus au cours du match, non plus des ogres croquant à bouche déployée, d'inoffensifs et stériles «fennecs», mais, hélas, pour les Dakarois, Belmadi avait concocté une de ces tactiques à faire reculer les «gros mangeurs de casse-croûtes», pas seulement les frêles latéraux Sénégalais, mais aussi et surtout, des anti-Djamel, vous savez, ceux des tables rondes organisées pour casser l'EN! Les «Fennecs» qui sont devenus des «Lions de l'Atlas blidéen», qui ont pourtant totalement disparus, à la fin du XVIIIe siècle, ont été, le temps de rencontrer un Sénégal, rongé par la «vendetta sportive, de véritables fauves affamés, en pleine «Téranga»! On oublie, on n'a jamais su pourquoi, trop souvent que l'Algérie est, géographiquement parlant, le 1er pays d'Afrique du Nord, et même, écrirons-nous, la porte d'Afrique, tout court. Cette Algérie qui fait jaser, qui fait des jaloux tous azimuts, qui empêchent des «types» genre «hassadine», de dormir, très profondément, et même, à poings fermés! Un match de foot, est, quoi qu'on en dise, un jeu, pour la énième fois, nous le répéterons sans jamais suer, râler, protester ni pleurnicher. Mardi soir, dans les chaumières les plus reculées de «Tamourth», et celles situées dans le reste du monde, on a salué le but de Farès Chaïbi, le petit-jeune-néo-meneur de jeu des «Fennecs», malgré lui, s'est retrouvé en excellente position, pour rassurer les millions d'Algériens, en mal de résultats positifs, rassurants et même réconfortants. Coucou pour les anciens guerriers «Farès» veut dire en bon français, «cavalier». Et ce soir-là, c'était le bon cavalier, en compagnie de dix autres aussi lancés, qui se trouvait au bon endroit, au milieu de huit athlètes sénégalais, pourtant vigilants, pour reprendre d'une très bonne tête, à la 62e minute de jeu, l'excellent centre de Riad-Karim Mahrez! Si nous devions compter les mille et multiples occasions de but, ratées, lamentablement par les locaux, ou détournées, arrêtées par le non moins excellent et grand barbu, Anthony Mandrea, nous pouvons, par contre énumérer les occasions de but des Verts, mais cela ne sert à rien! Le dire, voire le répéter, ne peut que nuire aux auteurs des buts lamentablement ratés. L'essentiel, c'est la victoire que les gens, et l'Histoire retiendront: un match de football amical ne vaut que par la rapide procuration d'une profonde et incommensurable jouissance immédiate, avant de se fondre dans les millions et les millions de souvenirs, d'un ballon envoyé au fond des filets adverses. D'ailleurs, après le match et la petite-grande victoire de mardi dernier, contre le Sénégal, Riad Mahrez, a bien analysé la situation. Il a fortement souligné que ce résultat ne devrait pas les «transporter» dans les airs vaporeux d'un ciel zébré d'un éclair, aveuglant, et fort, mais vite évanoui dans les nuages. Il a certes volontiers, passé sous silence les prouesses et malheureux ratés des Bensebaïni, Feghouli, Zerrouki, Mandi, Benrahma, et autres Chaïbi, Aït-Nouri, et évidemment Attal! Donc, qu'il fallait mieux garder les pieds, sur terre, et continuer à travailler plus. Quant au précieux apport de joueurs «vieillissants», comme Sofiane Feghouli, Raïs Wahab M'Bolhi, Youssef Belaïli et autres Djamel Eddine Belamri, ils ne seront qu'un renfort «momentané, le temps d'adaptation des joueurs de la génération montante. Profitons de cette mini-liste, pour adresser un mignon coucou aux ex- grands talents Antar Yahia, Safir Taïder, Mourad Meguenni, Rafik Halliche, Majid Bougherra, Adlène Guedioura, Belhadj, Mehdi Lahcène, Mosbah, Gaouaoui et tous les autres coéquipiers des «EN», de toutes les «EN»! Pourtant, à la veille du match amical-officiel, contre nos frères du Sénégal, des consultants, qui affirmaient avoir leurs «sources», avaient prédit, ô rage, que l'année 2023, sera celle du jet de l'éponge par le sympathique Djamel Belmadi, le coach national, qui a su comment ramener, l'unique coupe d'Afrique des nations, d'Egypte en 2019! Jamais, au grand jamais, cet homme ne se hasardera à laisser une troupe de véritables «guerriers», seule, ou livrée à un charlatan que les bandits du foot national, auront ramené pour bouffer dans le même râtelier! N'omettons pas la série de trente-cinq matchs invaincus après l'exploit des «pyramides». Pour couronner le tout, on est venu vers des micros tendus à dessein, crier leur bonheur d'avoir assisté à un staff algérien, aux commandes de la Tanzanie-soeur, qui a réussi à tenir en respect l'«ogre» algérien, crée de toutes pièces par le compétent, l'engagé, l'audacieux, l'entreprenant et le patriote, Djamel Belmadi. De plus, pas un mot gentil en direction des artisans des nombreuses oeuvres effectuées sous la houlette de Djamel, et de sa troupe! Flatter et féliciter Adel Amrouche, sans le faire pour Djamel Belmadi, c'est aller un peu vite en besogne, ceci pour monter la haine, la rancoeur et la jalousie, versées à l'encontre de Belmadi! Tant de mépris, tant d'ingratitude, tant de tristesse pour des besoins de bouffe, de sale fric, de voyages, de places d'avions gratis, et autres illicites, et privilèges miroités, dans un miroir sans tain! Puisque ces sinistres individus, qui, au nom d'une soi-disant liberté d'expression, l'attaquent sur des sujets sans fondements! La «grinta», de retour, vraiment? Même s'il a senti ces derniers temps, le retour de «grinta», Djamel Belmadi sait, par expérience, que l'on ne peut avoir sous la main, tout le temps, des combattants, de la trempe, du solide «Adlène Guedioura», ou de l'accrocheur, Sofiane Feghouli, éblouissant mardi à Dakar! Les «vampires», «piranhas» et autres «bouloulous» se mordent les lèvres pour ne pas voir Belmadi, dégoûté, quitter de son plein gré, le «navire-EN», et repartir la queue entre les jambes, vers le Qatar! Tout pour descendre illico - presto Djamel Belmadi qui a autre chose à faire, entre autres, jouir fortement, mais calmement de son dernier succès face à son ami d'enfance, le Sénégalais, fantastique entraîneur Aliou Cissé! Voilà enfin une chute qui va bien avec tout ce nous avons toujours pensé de bien sur le foot: un lien permanent entre les peuples! Signe des temps: tout cela n'est que fiction, car l'EN, saura, en terre de Côte d'Ivoire, élever sa «cote», vers le ciel bleu de l'Afrique, en brandissant, sa 3e coupe d'Afrique! Et tout cela, au nez et à la barbe, du mauvais arbitrage, des coulisses, du climat, de l'état des terrains, etc. Chiche, les enfants!