Il y a exactement quatre longues et pénibles années une grande et pure Algérienne qui a tout donné à Tamourth, a été «salement» poursuivie pour du «vent», jalousie oblige, entendue, condamnée, ensuite rejugée, pour être blanchie par une fantastique cadre-juge, aujourd'hui, fantastique-présidente de la 1re cour du pays. Douniazed Guellati a su ramener la barque sur l'eau, et permettre à l'ex-wali, de rentrer chez elle, à Tlemcen, pour un repos sans fin! Ce jour-là, deux formidables-femmes, se faisaient face pour la justice! Elles se faisaient face pour que justice se fasse. La prévenue pouvait très bien être la «mère» de la jeune juge! Les présents avaient encore le souvenir de la veille, lorsque Me Miloud Brahimi a brillamment plaidé, devant la vaillante juge, en faveur du prévenu Youcef Yousfi, l'ancien ministre de l'Industrie et des Mines. Vint ensuite le tour des avocats de la prévenue Yamina-Nouria-Zerhouni, ancienne wali. Ils soulevèrent un véritable tapage correct, devant cette composition pénale, qui jugea et alla à la justesse de la cause. Les avocats allèrent jusqu'à rappeler à la valeureuse présidente, les hauts faits d'armes du regretté papa de la prévenue, qui a toujours servi, comme sa fille, durant des années, Yamina-Nouria, le pays: «Trente-sept ans de service, d'abnégation, en offrant le meilleur d'elle-même, pour se retrouver inculpée; jugée, condamnée à une peine d'emprisonnement ferme de cinq ans! Puis, elle fut rejugée à la cour d'Alger et condamnée à une peine inférieure (3) ans fermes. Hélas, pour ceux qui la voyaient en prison pour un bon bout de temps, la Cour suprême a balayé d'un revers de la main le verdict de la cour d'Alger, estimant qu'il y a eu d'énormes fautes de procédures criardes! «Cela veut dire que la digne wali, Zerhouni était blanche et glacée comme une splendide neige, en ce mois de janvier 2021, et donc n'avait rien à faire ici!» Dira l'un des plaideurs de Tlemcen, qui quitteront la cour d'Alger, une fois les admirables interventions en faveur de cette extraordinaire cadre, qu'était Yamina-Nouria Zerhouni, achevées en apothéose! Puis Guellati, l'autre intègre femme-cadre, la présidente décida de la pause déjeunée, juste de quoi récupérer sur les plans physique et moral, avant de blanchir définitivement Zerhouni, qui dormira comme une enfant, cette nuit du 21 janvier 2021. Sacrée Dounia!
