Elle est âgée de 36 ans et a été admise au CHU en service maternité pour accouchement. Des complications ont contraint le service médical à pratiquer une césarienne pour mettre au monde un bébé de sexe féminin, mais l'état de la patiente ne s'est pas amélioré pour autant. La famille de la «victime» que nous avons approchée hier, parle d'une grave erreur médicale, laquelle aurait été à l'origine du décès de la patiente. Celle-ci luttait contre la mort depuis quelques jours, soit depuis le jour où elle a été transférée au service de réanimation. Des sources proches du staff médical confient que le décès est naturel. La patiente serait morte des suites de complications qui auraient détérioré son état de santé. Mais qui serait en mesure de prendre en charge la responsabilité de ces actes? Surtout quand on sait que les décès survenant après un accouchement sont répétés. Pour l'heure, on ne sait pas si la famille de la victime qui soutient l'acte d'une erreur médicale compte déposer plainte ou pas. Ce qui est sûr, selon toute vraisemblance, la famille de la victime ne compte pas laisser passer ce drame impuni, réclamant des explications afin de faire toute la lumière sur les circonstances exactes qui ont conduit au décès de leur fille.
