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L'homme à plusieurs dimensions
LA CULTURE ARABE ORPHELINE DE MOSTEFA LACHERAF
Publié dans L'Expression le 18 - 01 - 2007

Il était un intellectuel algérien passionnant et passionné.
Au moment où l'Algérie fête, nous dit-on, la culture arabe pendant une année, la culture et les intellectuels arabes ont perdu en la personne de Mostefa Lacheraf un des piliers culturels du pays. C'est un monument de la mémoire intellectuelle nationale sans équivalent que l'Algérie perd à travers la disparition de Mostefa Lacheraf. Militant de la cause nationale, intellectuel, homme de lettres, qui maîtrise à la perfection le bel usage de l'arabe et du français. C'est autant de dimension qui se conjugue dans cet homme qui laissera la culture et le monde arabe orphelins de son génie.
Il était un intellectuel algérien passionnant et passionné. Pour lui, servir l'Algérie est une exigence de tous les instants. Il me fut donné de le côtoyer une seule fois. J'en suis sorti troublé et...ragaillardi avec la conviction profonde que l'Algérie qui avait des géants de la sorte ne pouvait que sortir victorieuse des épreuves qu'elle a traversées et qu'elle traverse depuis les temps tumultueux de son histoire plusieurs fois millénaire.
Au-delà du militant de la première heure, Mostefa Lacheraf est, aussi, connu par ses essais d'histoire sur le mouvement nationaliste algérien et la notion du nationalisme dans la Révolution algérienne, qu'il a reproduit dans son livre phare Algérie, nation et société, en réponse à la thèse émise par Maurice Thorez, le secrétaire général du Parti communiste français dans les années 1940, où il prétendait que «l'Algérie comme les autres pays colonisés par la France, est une nation en formation».
Tout en demeurant profondément attaché aux racines ancestrales, écrit Djillali Sari, l'enfant surdoué du Hodna s'est imprégné méthodiquement et sans relâche à l'interculturalité, source autant d'enrichissement que d'universalisme. «A seize ans, j'avais lu presque tous les classiques français, étrangers, et beaucoup de livres arabes anciens et modernes.» (p258) Excellente expérience a été aussi celle faite à la Tha'alibyya, «la seule grande école d'études traditionnelles ou modernes en Afrique du Nord et dans le reste du monde arabe -avec la Sâdiqiyya de Tunis....A la Sorbonne, l'étudiant est parfaitement à l'aise en préparant les différents certificats, élargissant ainsi sans cesse le champ de ses connaissances et investigations, non seulement en raison du rôle joué par les structures d'enseignement et de culture localisées dans la capitale française, mais aussi par les contacts recherchés ardemment avec d'éminentes personnalités du monde des arts et des lettres. Il en est ainsi, notamment, du philosophe égyptien, Abderrahmane Badawi, de l'écrivain et critique littéraire, Taha Hussein, à travers ses oeuvres, de l'écrivain et professeur universitaire Mahmoud el Messaâdi, Sans conteste, l'incarnation d'un double modèle, d'érudit et d'acteur politique, de surcroît, conforté et illustré par une oeuvre dense et particulièrement féconde. Une oeuvre incontournable pour toute recherche approfondie en matière d'histoire, de culture et de sociologie de l'Algérie, voire du Maghreb et du Machrek».(1)
Un surdoué
De son amour et de sa connaissance du terroir, Mostefa Lacheraf a déduit quelques évidences sur la toponymie. Il écrit:
«...Nous nous apercevions donc que les cailloux issus des roches rencontrés, les herbes, les plantes et parfois les oiseaux petits ou grands auxquels nous tendions nos pièges.. avaient des noms berbères très anciens, parfois arabes et même puniques, c'est-à-dire phéniciens».(2) Voilà pour les racines.
Avec sa lucidité coutumière, Mostefa Lacheraf définit les bases d'une vraie arabisation, écoutons-le: «L'arabisation improvisée et sentimentale ne parvenant pas à maîtriser l'enseignement et à faire corps avec lui risquera, tôt ou tard, d'être l'objet d'une injuste désaffection de la part des siens.Ce qui est en jeu, ce n'est pas seulement le fait de récupérer un patrimoine aussi vénérable soit-il, c'est en même temps celui de rendre à l'héritage perdu et retrouvé sa fonction pédagogique, sa fonction socioculturelle la plus conforme aux besoins d'un peuple engagé dans la voix du progrès, soucieux de donner à ses enfants un enseignement concret, substantiel, solide, anti-obscurantiste, capable d'exprimer notre univers algérien, arabe et africain et le monde tout court, avec ses conquêtes techniques, ses découvertes, ses expériences, ensemble de valeurs auxquelles nous avons nous-mêmes participé par le travail créateur dans un lointain passé...».(3).
«Dans le cas précis d'un affrontement culturel et d'influences plus ou moins nocives, provenant aussi bien d'une culture étrangère dominante mieux outillée que d'une tradition sclérosée ou dégradée à contretemps de l'histoire vécue, il s'agit d'une véritable épreuve de force marquée qui relève presque de l'ordre biologique en ce sens que le besoin impérieux dont sont saisies les sociétés des pays en voie de développement ne tolère ni le déchet, ni le vide, ni le superflu. De là le devoir pour les responsables de nos cultures nationales dans l'être socioculturel si fragile des peuples nouvellement indépendants et menacés par le volume et l'attrait des mass média insidieux et frelatés d'où qu'ils viennent, de trouver autant de ripostes au triple plan de la création, de la qualité et de la concordance avec les objectifs d'une nécessaire transformation des structures mentales dans le sens du progrès des consciences, de l'identité reconquise d'une vision plus rationnelle du monde et, bien sûr, du développement sous toutes ses formes».(4) Ces lignes décapantes sont plus que jamais d'actualité et ce n'est pas l'agitation culturelle actuelle et sans cap qui feront illusion.
La culture arabe, nous dit-on, a fait d'Alger sa capitale. Qui étaient donc ces Arabes porteurs du message divin? Quel projet culturel véhiculait la langue arabe? La littérature arabe est la littérature d'une langue,et non celle d'un peuple. Les racistes anti-arabes, les «chu'ùbiyah» du IXe siècle ont été les premiers à bien exalter, à exalter et à servir la langue arabe tout en cherchant à déprécier les Arabes qui la leur avaient apprises.(5). Cette langue a affirmé, dès le début, sa suprématie et elle l'a maintenue malgré les scissions religieuses et les dislocations politiques. Les Arabes parlaient des dialectes différents, avant même l'avènement de l'Islam, il existait une langue littéraire employée par les poètes et les orateurs. On ne peut pas parler de centres littéraires «fixes». Cependant, ils se réunissaient périodiquement à l'occasion de trêves, et se livraient alors à une vie de l'esprit. Les rivalités des tribus pouvaient alors s'exprimer par orateurs interposés et, malheur à la tribu qui n'avait pas un bon poète! Une des foires les plus importantes portait le nom de ‘Oukkadh, elle se tenait loin de Taïf et durait vingt jours. On aime à dire, rapporte J.M.Abd El Djallil,que le célèbre poète An-Nabigah Ad-Dubyani en a été l'arbitre, que les fameuses «Mu'allaquat» y furent couronnées. Un des plus célèbres poètes est le fameux Hammad Ar -Rawiyah (VIIIe siècle), son rôle est même resté dans son nom, il se vantait de pouvoir débiter sur chaque lettre de l'alphabet arabe 100 qacidas (poèmes) de la même rime!
Même les Juifs qui étaient assez nombreux dans l'Ouest de l'Arabie, s'étaient arabisés dans l'usage de la langue et de l'art oratoire du pays.Le plus célèbre d'entre-eux fut As-Samaw'al Ibn ‘Adiyah de Yatrib, la future Médine. On rapporte qu'il avait accepté de garder pour Imru'-Al-Qays qui se rendait à Byzance, les armures de la famille et qu'il préféra voir égorger son fils sous ses yeux que de livrer le dépôt aux ennemis du prince. D'où le proverbe arabe bien connu: Aoufa min As-Samaw'al; Plus fidèle que Samuel. Sous la dynastie ommeyade à partir de 750, l'expansion de l'Islam eut pour résultat indépendamment de la conquête elle-même que ces peuples apportèrent, à l'instar des Berbères, leur expérience et les habitudes de leurs propres civilisations et un savoir que les conquérants arabes ignoraient. Les Berbères apprenaient donc l'arabe pour comprendre le Coran et accomplir leurs devoirs religieux. La puissance arabe est alors à son apogée et les Abbassides règnent sur un Empire qui va de l'Espagne à l'Inde. La science musulmane est la digne continuatrice de l'héritage hellénique qu'elle a remis à l'honneur. En Europe, c'était, culturellement, le vide sidéral avec l'omnipotence de l'Eglise. Ce fut ensuite, l'inquisition et les autodafés qui liquidèrent pendant longtemps toute velléité d'épanouissement de la science, par la chape de plomb imposée par l'Eglise. Au IXe siècle, le calife de Baghdad, Haroun Errachid fonde Dar El Hikma, la Maison de la sagesse: sorte de Grande Bibliothèque qui groupera un million de volumes! Au Xe siècle, la bibliothèque de Cordoue en rassemble 400.000 et celle du Caire comprenait 1,6 million de volumes dont 6000 ouvrages de mathématiques et 18.000 de philosophie. Par comparaison, bien plus tard, au XIVe siècle, le roi de France Charles V, le Sage, c'est-à-dire le Savant, réunira difficilement 900 livres.
A l'époque, donc, où l'Europe était en proie, vers le neuvième siècle, à la période la plus noire pour la culture, à Baghdad régnaient des califes qui rivalisaient de bienfaits à l'endroit des hommes de lettres et des scientifiques. On raconte que le calife Haroun Er Rachid offrit, vers 790, une pendule à l'empereur Charlemagne, celui-ci lui fit cadeau de...lévriers!. «D'un côté, des pendules, les premières horloges du monde, de l'autre, des sloughis...Oui, des sloughis, des chiens! Non, les Arabes n'étaient pas des Barbares..»(6).Baghdad règne sur l'époque, comme jadis, Rome a régné sur l'antiquité. Sous Haroun Errachid, Baghdad a rejoint puis dépassé Byzance sur le plan de la splendeur et de la gloire. Empiètant sur l'Asie, l'Afrique et l'Europe, l'Empire musulman se trouvait au carrefour de grandes routes commerciales terrestres et maritimes.
En Occident musulman, la période la plus faste pour le rayonnement de la culture et de l'éducation fut, sans conteste, celle du calife El Mansour. On apprenait l'arabe dans les universités européennes, pour mieux comprendre les sciences, la philosophie, l'astronomie. C'est à cette époque que pour la première fois, le Coran fut traduit par Raymond de Tolède. S'agissant de l'apport de la civilisation musulmane au Maghreb, écoutons Mostefa Lacheraf: La bibliothèque royale de France possédait 9 à 10 volumes au XIVe siècle...A cette époque, les bibliothèques royales du Maghreb et du Proche-Orient contenaient non pas des centaines de volumes mais des dizaines de milliers. Les bibliothèques des universités où se forma, se documenta et enseigna Ibn Khaldoun, à Tunis, Tlemcen, Béjaïa, Fès et Le Caire ne le cédaient en rien quant à l'importance numérique de leurs manuscrits. Quand Ibn Khaldoun, le père de la sociologie, écrivit à Tihert (Thakdemt) «la Muquadima», il compulsa plusieurs centaines de références en littérature, droit, science. Al Gobrini, pour sa part, a dénombré 100 savants à Bougie, rapporté dans son ouvrage (‘Unwan addhyraya ‘an machaiakh bidjaïa: «Galerie des 100 savants de Bougie». C'était, il y a bien longtemps..
Où en sont, en définitive, actuellement, les Arabes? Où en est leur culture? Quelle malédiction est tombée sur Baghdad, ville qui pleure le sang, et que tous les Arabes n'ont pas su protéger de l'apocalypse. Il faut bien convenir que le monde arabe est en crise. Cette «Année de l'Algérie capitale de la culture arabe» ne saurait cacher l'errance. Dans son discours, le président de la République a appelé les Arabes à «réinventer» la culture pour ne pas être «condamnés par notre errance culturelle à devenir la proie des cultures dominantes imposées par les puissances hégémoniques». Le Président estime, par conséquent, «ou bien nous saurons réagir et réinventer s'il le faut, le contenu d'une culture arabe retrouvant sa vitalité et qui participe par son humanisme et ses lumières à l'avènement d'une société sûre d'elle et à la création d'un monde plus harmonieux, ou bien nous serons condamnés par notre errance culturelle à devenir la proie des cultures dominantes imposées par les puissances hégémoniques».
Les menaces sont, dit-il, «réelles, tant intérieures qu'extérieures et (que) nous n'arrivons pas à progresser malgré nos ressources et notre situation géopolitique». Et qu'«une situation de régression et de négligence conduit inévitablement à des troubles et à des défaites».
Le Président appelle les Arabes à se constituer en bloc «à l'image de ces continents (qui) s'unissent et se transforment par l'intelligence, l'initiative et la créativité» parce que «le monde ne laisse pas de place aux faibles et à ceux qui ont accumulé des retards». Ils doivent pour cela, selon lui, porter la réflexion sur trois diptyques alliant les cultures arabes à l'identité, à la mondialisation et enfin à la liberté.
L'hommage de la Nation
Pour revenir à l'immense perte de la culture arabe, cette appréciation de Mouny Berrah est tout à fait à propos. Ecoutons-la: «Que l'on aborde, écrit Mouny Berrah, l'Algérie par sa littérature, on y rencontrera Mostefa Lacheraf, dans le texte, c'est là que tout a commencé. Que l'on aborde l'Algérie par son histoire, on y rencontrera Mostefa Lacheraf. Au PPA puis au MTLD dans tout ce que compte la presse clandestine de l'époque, dans les instances dirigeantes du mouvement national puis à la base pour cause de désaccords sur les principes.
Que l'on aborde l'Algérie par son identité, et on y rencontrera Mostefa Lacheraf, d'abord dans l'intégralité de l'oeuvre mais en particulier dans ce joyau que constitue Des noms et des lieux, Mémoire d'une Algérie oubliée. Que l'on aborde l'Algérie, la tête dans les étoiles et, on y rencontrera Mostefa Lacheraf dans son introduction à la lecture de Nedjma»(7).
On peut espérer que le nom de Mostefa Lacheraf ne disparaîtra des mémoires. L'hommage de la nation pourrait, pour le moins, lui être rendu en baptisant une université de son nom.
L'université de Bordj Bou Arréridj (à une soixantaine de kilomètres de M'sila, capitale du Hodna) serait un premier acompte de la nation à ce géant, à la fois sur le plan de la lutte pour l'indépendance mais aussi et surtout de la pensée. Assurément, Mostefa Lacheraf entre par la grande porte dans le Panthéon de l'histoire.
1.Djilali Sari: Hommage à Mostefa Lacheraf. Le Quotidien d'Oran 15 et 16 janvier 2007
2.Mostefa Lacheraf: Des noms et des lieux.page 10. Editions Casbah 2004.
3.M.Lacheraf:Les problèmes de l'enseignement et de l'éducation: des malentendus à dissiper, une voie rationnelle à tracer dans l'intérêt de l'enfance scolaire.
El Moudjahid.Alger.9,10,11 août 1977).
4.Mostefa Lacheraf: Ecrits didactiques pages 131-132 Editions Enap.1988.
5.J.M.‘Abd El Jalil. Histoire de la littérature arabe. p.8.Ed.G.P.Maisonneuve, Larose (1943).
6.Lamine Kouloughli: Image de l'Ecole coloniale dans l'oeuvre romanesque de Malek Haddad. Spécial Colloque Malek Haddad p. 59; Janvier (1994)).
7.Mouny Berrah: page 4 de couverture de l'ouvrage de Mostefa Lacheraf: Des noms et des lieux. Editions Casbah 2004


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