Le journal est aujourd'hui classé parmi les quatre premiers quotidiens francophones en Algérie. Et de un! Et de deux! Et de trois...et de...huit! Un chiffre qui revêt une signification magique pour le journal L'Expression, qui a fêté hier son huitième anniversaire. Créé en novembre 2000, le journal a vite su trouver sa voie royale en se plaçant parmi les quatre premiers quotidiens francophones en Algérie. Ce qui n'est pas, aujourd'hui, une sinécure, notamment au milieu d'un paysage médiatique qui connaît une concurrence plus ou moins rude. Le pari est d'autant plus délicat sur une scène médiatique qui assiste quotidiennement à la parution d'une multitude de titres. Pour souffler donc cette huitième bougie, le journal a organisé une cérémonie conviviale, à laquelle ont été invités, outre le collectif du quotidien, des personnalités marquantes du monde de la presse algérienne. Un invité de marque, et dont l'arrivée n'a pas laissé la rédaction indifférente, était présent à cette cérémonie, il s'agit de Noureddine Naït Mazi, ancien directeur du quotidien El Moudjahid, l'un des doyens de la presse nationale. Une sommité, une intelligence, un charisme, mais surtout un professionnalisme dont l'Algérie peut se vanter. M.Naït Mazi a honoré L'Expression en partageant avec le directeur du journal, Ahmed Fattani, le gâteau d'anniversaire. On compte parmi les invités, l'écrivain et journaliste, Kaddour M'Hamsadji, qui n'est pas à présenter ici, puisque les ouvrages et articles qu'il a publiés et qu'il continue de publier parlent pour lui. Aussi, la cérémonie a été rehaussée par la présence d'un autre écrivain et journaliste, Hamid Grine. Ce qui est le plus remarquable dans cette cérémonie, c'est l'esprit convivial qui a prévalu. L'équipe a mis, pour un temps, le travail de côté pour célébrer l'anniversaire de leur journal, qui est aussi le vôtre. Une équipe qui ne compte pas s'arrêter en si bon chemin, d'autant qu'elle est consciente de la lourde responsabilité qu'elle endosse et qu'elle assume avec passion et amour. Par ailleurs, ne pas omettre de citer le nom de notre jeune collègue, Chahinez Benzaghou. Elle qui commence tout juste à faire ses premières armes dans ce métier d'autant plus passionnant que difficile, un sacerdoce. Pour l'occasion, son premier papier paraîtra aujourd'hui dans les colonnes de L'Expression. Ceux qui ont goûté la saveur de voir publier leur premier article savent pertinemment de quoi il s'agit. Lisez Bel ami de Maupassant, vous vivrez certainement l'expérience. Notre jeune collègue approuvera certainement ce sentiment. Rendons-lui hommage et surtout pour son défunt papa qui n'est autre que Djamel Yahia Benzaghou. Un brillant journaliste, connu et reconnu par ses pairs. Repose en paix Djamel, Chahinez a repris le flambeau... Enfin, souhaitons longue vie à L'Expression.