Il n'y a aucun doute que le marché algérien reste un marché juteux pour le GSM. L'article commentant les déclarations de l'Autorité pour la régulation des postes et télécommunications (Arpt) publié par un journal a suscité en moi un dégoût particulier quant aux dégâts gravissimes que ce genre de lynchage risque de générer auprès d'investisseurs étrangers, potentiellement intéressés par le marché algérien, que ce genre de pratiques exécrables confortent dans leur prudence et leur méfiance à s'engager dans un marché qui, intrinsèquement, offre des potentialités appréciables. C'est peut-être le but recherché. Puisqu'on parle des règles concurrentielles communément utilisées dans les pays modernes, j'aimerais apporter mon opinion de citoyen algérien expatrié dans ces pays-là et d'observateur attentif de l'évolution du marché algérien sur ce qui s'affirme ici et là.