Des choses vraiment se passent en Angola avec toutes ces bouderies et tous ces black-out incompréhensifs qui laissent les journalistes (algériens ou étrangers) se poser un tas de questions dont la plus pertinente est sans doute: Quelles sont les raisons exactes de cette attitude? C'est vrai, qu'après le dernier match face au Mali, certains joueurs à l'instar de Halliche, Ziani, Belhadj, Bougherra et autre Laïfaoui se sont normalement exprimés devant la presse en général. Mais ce n'était pas le cas pour les Yebda, Saïfi, Chaouchi, Bouazza et compagnie qui se sont contentés de lancer deux mots seulement à savoir, «on nous a interdit de parler à la presse». A priori, les responsables de cette situation et surtout, de cette décision, ont visiblement oublié le rôle qu'a joué la presse algérienne en général lors des récentes qualifications jumelées CAN-Mondial 2010 et surtout, lors de la double confrontation Algérie-Egypte au Caire et à Khartoum. Si ces mêmes responsables ont d'éventuels problèmes avec certaines journaux algériens, il ne faut pas généraliser car les autres n'ont absolument rien à voir dans cette polémique du moment qu'ils se contentent uniquement de rapporter les faits et les informations qui concernent leur Equipe nationale.