C'est connu depuis toujours, les services d'état civil du pays sont pris d'assaut à chaque rentrée scolaire. C'est le cas particulièrement des villes où sont implantés les hôpitaux. Bureaucratie oblige, les citoyens sont obligés de fournir certaine pièces d'état civil pour pouvoir s'inscrire et inscrire leurs enfants dans les écoles, collèges, lycées et universités. C'est la période par excellence de la forte demande en documents d'état civil (acte de naissance, résidence...). Cette période s'est singularisée cette année par une pénurie d'imprimés ou de formulaires que l'agent continue encore à remplir à la main comme durant les années 60. En 2010, l'état civil algérien n'arrive pas à se mettre au diapason de la modernité. Lequel cas, il suffirait d'un clic sur un clavier pour qu'une imprimante vous présente le document demandé en un temps record qui éviterait ces chaînes interminables qui s'invitent devant les sièges communaux à chaque rentrée sociale.