En deux ans d'existence, L'Expression a prouvé qu'il était très possible de faire fructifier les riches expériences des anciens, tout en mettant les jeunes sur la rampe de lancement. La famille de L'Expression a fêté hier le deuxième anniversaire du titre. Vous l'aurez deviné, l'événement a été célébré avec une dizaine de jours d'avance. L'Expression est né le 11 novembre 2000. Deux ans, c'est peut-être court dans la vie d'un journal, mais dans ce laps de temps beaucoup de belles choses ont été réalisées. L'une des plus significatives est sans doute l'harmonie qui caractérise une équipe qui compte en son sein des jeunots de 22 ans aux côtés de vieux routiers de la presse qui totalisent pour chacun, quelque chose comme 20 à 35 ans d'expérience. Aussi, pourrait-on dire, notre journal bénéficie de plus d'une centaine d'années de pratique journalistique. Normal donc que le titre se positionne parmi les quatre premiers tirages du pays. Ce qui fait la fierté de toute l'équipe. Une fierté qui a largement transparu, avant-hier, à l'hôtel El-Djazaïr (ex-Saint-George). C'est tout en couleurs et dans une ambiance formidable que de jeunes journalistes, techniciens, correcteurs, chauffeurs ont dansé, ri et mangé en parfaite symbiose avec d'anciens reporters et autres secrétaires de rédaction. La salle, surchauffée grâce aux deux chanteurs qui ont animé la soirée, offrait un tableau de rêve. Plusieurs générations de professionnels de la plume se côtoyaient, bavardaient en toute fraternité. Il faut dire que la mayonnaise concoctée par Ahmed Fattani (selon sa propre expression), un certain 11 novembre 2000, a réellement pris. En deux ans d'existence, L'Expression a prouvé qu'il était très possible de faire fructifier les riches expériences des anciens, tout en mettant les jeunes sur la rampe de lancement. Aussi, est-on amené à dire qu'une nouvelle tradition est en train de faire sérieusement son petit bonhomme de chemin dans le monde de la presse nationale: plutôt qu'un conflit stérile entre générations, L'Expression propose leur complémentarité. C'est en cela que la mayonnaise a merveilleusement pris. Tout ce beau monde, heureux d'avoir réussi là où beaucoup d'autres ont failli, a fortement applaudi le moment émouvant où le directeur de publication, entouré de ses plus proches collaborateurs, a découpé le gâteau qui enterre la deuxième année d'existence du titre pour inaugurer la troisième. Une scène qui a fait «briller» quelques yeux d'émotion et où tous les membres de l'équipe de L'Expression se sont sentis autant spectateurs qu'acteurs d'une aventure qui promet d'être longue. Les sponsors, les amis du journal, parmi lesquels, l'on compte H'biri, colonel de la Protection civile, Hamraoui Habib Chawki, Tayeb Benouis, P-DG d'Air Algérie, Abdelmoumene Khalifa, P-DG du groupe Khalifa, le chanteur Mami et bien entendu, Le grand journaliste Nourreddine Naït Mazi auquel un hommage appuyé a été rendu par le directeur du journal, ont partagé la joie et l'émotion de l'équipe. Nos amis ainsi que nos partenaires ont, eux aussi, apprécié la «mayonnaise de Fattani». Le plaisir d'être parmi la famille de L'Expression se lisait dans les yeux de chacun.