En ce moment, le sol se dérobe sous d'inquiétants creusages à l'approche du quinzième et seizième pans du mur de clôture du jardin de Tunis. Pour se persuader de la fragilité du plancher des vaches, il suffit de battre le pavé le long de la haie qui est attenante à l'estuaire du virage de la résidence d'Etat de Djenane El Mithaq. Là et à l'occasion, il s'agit d'ouvrir l'œil et le bon pour ne pas se prendre le pied dans le trou qui n'est du tout loin du quinzième et seizième bout de l'enceinte. N. D.