CHAMBRE DE COMMERCE ET D'INDUSTRIE DE GHARDAIA Sans salaire depuis août dernier Décidément, rien ne va plus à la Chambre de commerce et d'industrie de Ghardaïa. Après la crise salariale qui avait duré de septembre 2006 à octobre 2007, les travailleurs se retrouvent encore une fois privés de leur rétribution, et ce, depuis quatre mois, à savoir depuis août 2008. Situation récurrente qui place les 10 éléments composant l'effectif de la Chambre de commerce et d'industrie (CCI) de Ghardaïa dans une position dramatique. Ces derniers vivent des moments extrêmement difficiles du faite de leur précarité salariale qui perdure depuis plus de deux ans, plus exactement depuis septembre 2006, date de la scission d'avec la Chambre de commerce et d'industrie de la wilaya de Laghouat à laquelle elle était intégrée et qui lui a “léguée” une lourde ardoise de plus d'un milliard de centimes. Depuis deux ans, l'effectif, composé de 3 cadres, dont un directeur installé en novembre 2006, 5 agents de maîtrise et 2 d'exécution, vit sous perfusion salariale. En effet, depuis cette date, les salaires n'étaient versés qu'à hauteur de 60% à 80%, avant d'être brutalement suspendus en février 2007, puis, enfin régularisés en octobre 2007, laissant croire aux travailleurs que la situation était réglée définitivement, avant qu'ils retrouvent à la case départ, soit celle des blocages de salaires. K. KACHEMAD Marché de véhicules de Tidjelabine Une fiche technique pour sa réhabilitation Le marché hebdomadaire de véhicules de Tidjelabine dans la wilaya de Boumerdès qui connaît un rush chaque jeudi des clients, acheteurs et revendeurs de voitures ou tout simplement des curieux venus de tous les coins du pays, sera bientôt réhabilité. C'est ce qui a été décidé dernièrement par le premier magistrat de cette wilaya qui a ordonné d'établir une fiche technique pour ce big marché de Tidjelabine et ce, dans le but de son réaménagement. Il faut que dire que ce marché qui fait rentrer dans les recettes de la commune un bénéfice annuel de plus de six milliards de centimes, se trouve dans un état lamentable. Par ailleurs et pour éradiquer l'anarchie et les bouchons qui se produisent chaque jeudi à l'entrée du marché situé sur la RN 5 suite au nombre impressionnant d'automobilistes qui prennent la direction du marché, ce qui sature la RN 5 et bloque la circulation, le premier responsable de la wilaya de Boumerdès a demandé qu'on fasse une fiche technique pour la réalisation d'une déviation qui permettra un accès direct au marché. Nacer Zerrouki