Faute de contrat de travail en bonne et due forme, l'entraîneur franco-serbe des Sanafir aura certainement du mal a revenir au pays. En effet, profitant du repos forcé du fait que le CSC sera exempt la prochaine journée, Janacovick a décidé de partir pour trois jours soigner un problème gastrique et, du coup, voir sa petite famille. Mais voilà qu'au moment où il s'apprêtait à quitter le pays, on lui signifia qu'il ne peut retourner en Algérie, car son visa a expiré, comme il nous le confia par téléphon. “Comme je ne possède pas un contrat de travail, je me retrouve en situation de blocage, car je travaillais au CSC avec un visa culturel de trois mois renouvelable, et comme j'ai déjà eu le plein pour cette année, car il a été renouvelé par deux fois, je me retrouve bloqué ici en France et je ne sais vraiment pas quand je reviendrais. Je pense même que je ne pourrais revenir avant le mois de janvier, c'est-à-dire le début de la nouvelle année. C'est d'ailleurs ce qu'on m'a signifié quand je suis allé demander au consulat d'Algérie, à savoir que je ne peux prétendre à un autre visa pour cette année, car j'ai déjà le maximum pour cette année. Je pense que si les dirigeants avaient enregistré mon contrat au niveau de la fédération, le problème aurais été réglé. Pour le moment, je ne sais comment faire car je ne sais pas quand est-ce que je vais revenir à Constantine”, dit-il. H. Samir