Suite à mes nombreuses lettres parues dans la presse écrite, j'ai dénoncé l'injustice des responsables et assimilés de l'administration de la justice algérienne qui ont permis à un mystérieux commerçant de me déposséder de mon bien : un local commercial de 150 m2 situé à Baraki. Ce mystérieux commerçant avec la complicité de ses frères exerçant au sein de l'administration et de la justice ont inventé, créé mon fantôme avec le même nom et prénom et m'ont “transformé” sous la forme d'un dangereux criminel, récidiviste, condamné 8 fois par différents tribunaux d'Algérie à des peines de prison ferme et qui menacent ce pauvre “ange” de commerçant. Pour cela, ce dernier a réussi à tromper la justice qui m'a condamné à 6 mois de prison ferme par défaut (jugement n°5748 du 5 février 2005). Par la grâce d'Allah, il y a des personnes au sein de cette justice algérienne qui ont découvert la tromperie et qui m'ont sauvé de la prison. Après 3 pourvois en cassation auprès de la cour d'appel d'Alger, la justice a enfin admis et reconnu mon innocence par un jugement n°9744 du 19 octobre 2008 en ordonnant ma relaxe. Certes, je suis soulagé par ce jugement qui m'a rendu espoir de croire toujours en la justice algérienne. Mais, ce commerçant ne m'a toujours pas restitué mon local, ni payé les loyers depuis 10 années, en dépit d'une décision de justice définitive du 28 février 2005, confirmée par la cour d'appel d'Alger le 8 janvier 2006 non exécutée par la faute d'un expert judiciaire. Pour cela, je lance un appel à M. le Président de la République et au ministre de la Justice de faire cesser cette injustice qui a détruit ma famille. M. Chennine Atmane Bt 46 Cité 2004 logts