On apprend de sources généralement bien informées que le laboratoire antidopage algérien, le troisième en Afrique après ceux de Tunis et de Johannesburg, sera opérationnel dès le début de la prochaine saison sportive. Le projet, piloté par M. Djamel Batata, un ancien directeur de la jeunesse et des sports et président de fédération sportive, fera économiser des montants substantiels, quand on sait que le contrôle d'un échantillon coûte dans les 1 000 euros.