TISSEMSILT Melons et pastèques inondent le marché Bien que les étalages des marchands fruitiers soient garnis de toutes sortes de fruits, importés ou locaux, il n'en demeure pas moins que les prix affichés donnent le tournis aux consommateurs. Citons, à titre exemple, les pommes qui sont cédées à pas moins de 240 DA le kilogramme. Idem pour les pêches, du moins de premier choix, à un degré moindre les poires ou raisins, coûtent entre 130 et 180 DA, tandis que les dattes sont quasiment intouchables, car cédées à des prix oscillant entre 350 et 450 DA le kilogramme. Seule la banane ou les melons et pastèques restent à la portée des gens. ABED MEGHIT MAGHNIA 47 kg de kif saisis Les éléments de la douane de Maghnia ont intercepté, hier sur la route de Zoniya, un individu transportant, à bord de son véhicule de marque Mercedes, immatriculé dans la wilaya de Tlemcen, plus de 47 kg de kif soigneusement dissimulés dans les portes arrière. Ce trafiquant a été présenté devant le juge d'instruction qui l'a placé sous mandat de dépôt. Quant à ses deux acolytes, ils ont pris la fuite et sont activement recherchés par la police. La valeur de cette marchandise est estimée à 188 millions de centimes. Mohamed Ammami 75 procès-verbaux et 15 commerces proposés à la fermeture La brigade de la DCP a lancé, ces derniers jours, de vastes opérations de contrôle de la qualité et des prix des produits de large consommation mis en vente au niveau des marchés et des magasins en ce mois de Ramadhan (150 interventions). Elles se sont soldés par l'établissement de 75 procès-verbaux et la proposition de fermeture de 15 commerces. À noter que certains produits de mauvaise qualité, destinés à la consommation, ont été écoulés par certains commerçants. Mohamed Ammami mascara Couffin de Ramadhan d'une commune à l'autre La valeur du couffin de Ramadhan varie d'une commune à une autre, dans la wilaya de Mascara, et les montants oscillent entre 1 000 et 3 000 DA. En théorie, les bénéficiaires de cette aide sont censés figurer sur les listes des pauvres, les personnes handicapées ayant une famille à charge, les sans-emploi et ceux aux revenus faibles. En pratique, cette opération se déroule autrement dans les communes car le couffin de Ramadhan est destiné aux gens aisés qui bénéficient de la complicité des élus locaux. Ces opportunistes mettent à profit leur rang social pour détourner ces aides réservées en principe aux pauvres. A. Benmechta Ruée vers les services de l'état civil Le mois de septembre se caractérise par la rentrée scolaire, une opération pour laquelle des pièces de l'état civil et autres documents administratifs sont exigés. C'est dans ce contexte que les services de l'état civil des différentes communes enregistrent une grande affluence. Ainsi, de longues files d'attente sont formées quotidiennement devant les guichets par les élèves ou leurs parents afin de retirer les documents nécessaires. Cette phase coïncide avec le mois de Ramadhan et la période des congés. Ces citoyens sont “parqués” dans des salles d'attente souvent exiguës et mal aérées, ce qui suscite parfois leur colère et provoque l'effervescence. A. Benmechta