C'est l'histoire de plusieurs personnes. Une “rencontre extraordinaire entre un harrag, émigré clandestin, Poutakhine, une professeur de neurologie, Simone, un colonel des services spéciaux, Sophie la biologiste travaillant sur la résilience, un curé très spécial, le père Clément et une vache Marquise (…)”. Ce livre, le premier de l'auteur Mehdi El-Djezaïri, chroniqueur de son état, s'inscrit dans le genre romanesque. Le lecteur peut lire et découvrir tout au long des 428 pages, les différentes péripéties des personnages qui composent ce roman. Poutakhine, le journal presque intime d'un naufragé, qui “puise dans le réel du vivre en mal et du vécu en pire pour construire son récit”. L'ouvrage est composé d'un avant-propos, d'un prologue, de 29 chapitres ou “têtes de chapitres” avec des titres plus au moins “évocateurs” et d'un épilogue. L'illustration des deux pages de couverture est signée par Slim. Un fond noir, zébré d'un Z rouge, qui nous rappelle les romans policiers ou d'espionnage des années 1970-80. Edité à compte d'auteur, Poutakhine, journal presque intime d'un naufragé est en vente dans toutes les libraires et autres points de vente de presse et autres magazines, à raison de 980 DA. À rappeler qu'une conférence de présentation du roman, Poutakhine, journal presque intime d'un naufragé, de Mehdi El Djezaïri, se tiendra aujourd'hui à 16h, à la filmothèque Mohamed-Zinet, Riad El-Feth.