Malgré les efforts considérables qui sont consentis par l'Etat dans le domaine du logement lequel axe ses visées sur le nombre et la qualité, souvent le résultat est d'une médiocrité criante. En effet, aussitôt l'acquéreur ayant pris possession de son logement, les mauvaises surprises surgissent et les finitions médiocres l'interpellent. Le propriétaire est contraint d'ouvrir un nouveau chantier et de nouveaux travaux très coûteux sont entrepris. La responsabilité est partagée à plusieurs niveaux et ce, à seul dessein de rentabiliser au maximum le marché par les entreprises lesquelles sont bien épaulés. Dans ce cadre l'on cite la nouvelle cité DRS (villas Cnep de la route de H. Chigueur) dont les acquéreurs ont été obligés tous de changer le revêtement du sol car avaient la mauvaise surprise de trouver le carrelage étrangement posé sur de… la terre ! Ou encore ces autres résidants de la même cité qui, deux années après les avoir habités, se sont rendus compte que leurs demeures ne sont pas reliées au réseau d'assainissement et que les eaux usées domestiques se déversent sous la construction ! Par ailleurs, cette cité malgré qu'elle a été habitée voilà quatre années, est toujours plongée dans le noir. Malgré la présence de lampadaires et de poteaux électriques, les rues ne sont toujours pas éclairées, malgré les maintes doléances faites par les habitants à l'APC.