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Bréves du Centre
Publié dans Liberté le 24 - 12 - 2009

Cité bidonville à Draâ El-Mizan Un cadre de vie misérable
C'est ce qu'on peut dire, tant de nombreuses personnes, à la cité Bidonville de Draâ El-Mizan, se heurtent encore à des scènes frisant la misère. En effet, si dans la région de Draâ El-Mizan, il existe encore des cités datant de l'époque coloniale, quarante-sept ans après l'indépendance, acquise avec les sacrifices que l'on sait, la cité Bidonville, de réalisation “récente”, surplombant l'hôpital Krim-Belkacem, est témoin d'un calvaire qui ne dit pas son nom. L'avènement du terrorisme a, certes, contraint des familles à quitter leurs villages, laissant derrière elles terres et maisons, mais s'accaparer d'un tel espace pour reproduire le dénuement qu'on croyait révolu n'est vraiment pas acceptable. “C'est un autre bidonville auquel les autorités feront face alors que le problème de la résorption de l'habitat précaire n'a pas trouvé encore son épilogue”, nous dit un citoyen qui observait de loin ces masures en roseaux ou carrément en tôles. Plus d'une quinzaine de familles y habitent déjà alors que leur nombre est appelé à augmenter. “Ce sont toutes des familles venues du côté de Tazrout où elles sont persécutées par des terroristes. C'est un exode en quête de sécurité, quitte à vivre dans de telles conditions”, nous a dit à ce sujet un membre de la société civile. Notre interlocuteur a raison de nous répondre de cette manière car vivre sans électricité, sans gaz, encore moins avoir un cabinet d'aisance n'est possible, à moins d'être contraint à sauver sa peau d'une mort certaine. Pour s'approvisionner en eau, des gamins ne dépassant pas quelques printemps se chargent quotidiennement de cette corvée. De très bonne heure, on les rencontre sur la route, déguenillés et tout essoufflés, soulevant avec leurs bras encore frêles des bidons de cinq litres. En tout cas, pour les autorités locales, c'est un autre problème à gérer. “Nous les avons recensés dans le cadre du programme de la résorption de l'habitat précaire. Ce sont des citoyens de notre commune. Ils n'ont pas où aller”, nous a confié un élu. À Draâ El-Mizan, plus de huit cents habitations précaires attendent d'être éradiquées. D'ailleurs, l'OPGI en charge de ce programme a déjà lancé des appels d'offres en vue de lancer la première tranche du projet en question. Seulement, là aussi, on se demande si des citoyens démunis à ce point pourraient arriver à participer financièrement au financement de leurs habitations quand on connaît le degré de leur indigence. Cela étant, avant même que ces programmes d'éradication des bidonvilles ne soient lancés, il est à dire que ce combat n'est pas facile à mener.
O. Ghilès
D'UNE CAPACITE DE 60 LITS Un hôpital pour Khemis El-Khechna
En effet, les travaux du grand projet de construction d'un hôpital de 60 lits viennent de démarrer. Selon une source de la DSP de Boumerdès, le projet de réalisation de cette structure sanitaire dont a bénéficié cette commune sera d'un grand apport pour non seulement la population locale mais aussi pour les trois autres communes limitrophes de Hammadi, Ouled Moussa et l'Arbaâtache. Selon un élu du FLN à l'APW de Boumerdès, Abderahmane Djadoun, le choix de terrain de cet hôpital de 60 lits est plus que stratégique. “Le futur hôpital de Khemis El-Khechna sera réalisé à Badraddine, une région idéale pour la construction d'un tel projet. L'hôpital, dont l'enveloppe budgétaire est de 60 milliards de centimes, aura trois accès, à savoir la route d'Arbaâtache, celle de Lagutoune et la route de Chouarbia”, a-t-il dit. Outre cet hôpital, la commune de khemis El-Khechna bénéficiera bientôt d'une bibliothèque et d'une gare routière digne de ce nom en attendant, bien sûr, l'inauguration du centre culturel dont les travaux sont achevés à 90% et le projet de l'évitement du centre-ville, nous dit-on.
Nacer Zerrouki


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