D'abord, a tenu à préciser Ouyahia, ce n'est pas l'Algérie qui a refusé la visite du ministre français des Affaires étrangères, mais la France. Il a précisé qu'il n'y a pas de crise entre les deux pays. “Il y a des relations naturelles et des relations conjoncturelles”, a-t-il affirmé. Il est attendu, selon lui, un saut qualitatif, aller vers des relations d'exception, mais l'adoption de la liste noire américaine des pays à risques et les mesures dans les aéroports, mesures qu'il a qualifiées de racistes, ne sont pas appréciées de l'Algérie. Par contre, des discussions sur les relations consulaires entre les deux pays sont en cours.