Benyoucef Mellouk, l'homme qui avait fait éclater dans les années quatre-vingt-dix l'affaire dite des “magistrats faussaires”, est loin d'avoir dit son dernier mot. Condamné en catimini lundi 4 février à huis clos par le tribunal de Sidi M'hamed, à sa grande stupeur et celle de son avocat, Me Mokrane Aït Larbi, il avait fait appel de ce jugement. La cour d'Alger va le rejuger en appel le 22 février prochain.