Saisie de 1 300 bouteilles d'alcool Une opération coup-de-poing a été menée, avant-hier, par les éléments de la sûreté de daïra contre le commerce illicite de boissons alcoolisées. C'est vers 16h qu'un important dispositif, aussi bien humain que matériel, a été mobilisé dans une rue du centre-ville où la vente d'alcool est la plus dense et des perquisitions ont été opérées dans 4 locaux pour vente de ce genre de marchandise prohibée. Les policiers, munis de mandats de perquisition, ont saisi environ 1 300 bouteilles d'alcool, tous genres confondus, et présenté à la justice 3 personnes qui activaient dans ce créneau illicite. Une quatrième personne est en fuite et est activement recherchée. Fin de la fièvre des automobilistes C'est finalement, hier, sur les ondes de la radio locale, que les responsables de la sûreté de wilaya ont officiellement mis un terme à la fièvre qui s'est emparée des automobilistes depuis le 1er février, jour de l'application des nouvelles mesures du code de la route. En effet, la fausse information sur l'obligation des automobilistes d'être équipés d'un extincteur, d'un gilet phosphorescent, d'un triangle de signalisation et d'une boîte de pharmacie a créé un climat de tension et les commerces spécialisés dans le matériel de sécurité ont été pris d'assaut. Ceci a, bien entendu, engendré une forte demande, et devant la rupture de stock, les prix ont explosé, au grand bonheur des commerçants. Ce n'est finalement que de l'intox qui est à l'origine de cette folie laquelle n'a profité qu'aux commerçants et que la sûreté de wilaya a démenti et, assurant les automobilistes sur la non-obligation de ce matériel de sécurité dans les véhicules. À quand un radiologue pour l'IRM ? Si des efforts et des moyens ont été déployés pour un centre de l'envergure de celui de l'imagerie médicale de Maghnia, l'efficacité attendue n'est pas malheureusement en rapport avec les attentes. Ainsi, voilà deux années que ce centre a ouvert ses portes et l'imagerie par radiation magnétique n'a jusqu'alors pas profité aux malades, lesquels continuent de se déplacer vers d'autres wilaya. Les raisons avancées restent toujours l'indisponibilité des radiologues. Le citoyen reste soucieux devant cette situation pour le moins inquiétante vu les milliards investis inutilement et ce, pour un simple manque de radiologue ! A. M. Le directeur de l'établissement public de santé de Maghnia nous écrit Monsieur le directeur, nous souhaitons vivement l'insertion de cette réponse dans votre prochaine édition. Nous, directeur de l'établissement public de santé de proximité de Maghnia, tenons à informer les lecteurs que le quota de vaccin destiné à la santé scolaire est stocké au niveau du Semep et conservé dans les conditions adéquates (normatives : chaîne de froid respectée). Pour plus de prévision, il n'a jamais été question de laisser du vaccin dans un établissement scolaire par nos services concernés (chose qu'ignore votre correspondant). Nous avons contacté le directeur de l'école en question qui a nié catégoriquement avoir eu contact avec ce correspondant sauf quand il vient chercher son enfant à la sortie des classes (élève dans cette école). Nous constatons aussi que ce dit correspondant ne sait pas que l'EPH et l'EPSP sont deux établissements différents parce que dans le contenu de son article, il ne parle que de l'EPH sans savoir que la vaccination de la santé scolaire concerne l'EPSP. Tout en ignorant les tenants et les aboutissants de cet écrit diffamatoire de ce dit correspondant dans un quotidien national respectable, nous restons à votre disposition pour toute information jugée nécessaire.