Algérie Poste d'aujourd'hui se distingue par la hogra de ces responsables qui pratiquent la politique du deux poids, deux mesures. Ils favorisent, avantagent et pistonnent les proches et marginalisent et s'acharnent sur les personnes crédibles, honnêtes et surtout qui dérangent de par leurs qualités et valeurs humaines et morales et crient halte au massacre de l'entreprise devenue la vache à lait pour beaucoup d'opportunistes et profiteurs et uniquement un gagne-pain pour les travailleurs des 48 wilayas. Les chiffres colossaux des ventes que connaît l'Algérie Poste sont là pour prouver beaucoup de choses à ces responsables de cette grande et importante entreprise nationale. Bref, l'actuel receveur principal de la Grande-Poste, ex-receveur de la poste de Kouba, avec la complicité du coordinateur de l'UPW nouvellement installé et ex-receveur de la poste de Dar El-Beida, avec la complicité du chef de service du personnel, du syndicaliste et représentant des travailleurs de la Grande-Poste. Tous ces messieurs ont contribué et monté en un temps record d'une semaine ma mutation d'un lieu de travail qui témoignera de mes 20 ans de présence et dont mon éducation, ma bonne conduite et ma relation de travail étaient exemplaires envers les collègues et les responsables. Je défie quiconque de prouver le contraire, mon fichier est dans les mains de ces mêmes responsables. La sanction prise à mon encontre par ces derniers se statue d'après mes connaissances au 3e degré et correspond à une atteinte à l'économie nationale comme le vol, détournement de deniers publics, falsification dans des écritures comptables et financières. Heureusement, ma mutation n'était pas pour les choses graves citées plus haut mais uniquement pour des requêtes et correspondances ayant un droit légitime que je réclame et réclamerai, à savoir mon positionnement à mon vrai poste vu mes bagages intellectuels et comme ça a été le cas pour beaucoup qui sont proches de l'administration. Ce droit légitime traîne depuis plus de 15 ans. le chef de service qui préside la commission de discipline et partie civile m'a culpabilisé d'avoir traité les directeurs et s/directeurs de pitoyables, chose que j'ai refusée énergiquement par une réponse sur le même PV bien argumenté et surtout appuyé par le témoignage de 2 collègues présents sur les lieux du soi -disant incident. Ces derniers ont été écoutés et entendus par le receveur et ont fermement démenti les mensonges et les propos non fondés du chef de service. Ce dernier est allé insister auprès d'un inspecteur de la grande salle de témoigner à ses côtés et dire avoir entendu l'interlocuteur proférer des choses désobligeantes envers les responsables mais son étonnement fut grand et choquant du refus total de l'inspecteur et de son faux témoignage. Alors, il a diffamé le motif sur le 2e PV pour ma comparution devant la commission de discipline, me faisant dire avoir adressé des injures à son encontre. Le receveur de la Grande-Poste avait ordonné et averti les agents de sécurité et les deux chefs des deux brigades de mon interdiction de rentrer, alors que les citoyens circulent librement et pénètrent jusqu'à la salle des chèques pour endossement et encaissement. Autre point noir à mettre à l'actif du receveur concernant l'incident survenu à l'intérieur de son établissement et dont il est le 1er gestionnaire, responsable de ces gestes et indépendant dans son travail. Le soi-disant incident n'aurait pas pris d'autre tournure et serait clos à son niveau par une sanction interne si vraiment elle existe ? Concernant le coordinateur et malgré mes fax bien explicatifs à son encontre et surtout ma présence dans son bureau l'informant de ma rencontre avec le directeur général et du refus total de ce dernier d'une mutation d'office, le coordinateur me cria : “je suis souverain !!!!!” J'attire votre attention, M. le président de la République que les responsables cités plus haut s'acharnent sur moi, ainsi ils utilisent tous les moyens pour me faire du mal, et ce, avec la complicité de leurs subordonnés et pour preuve, ils ont chargé et ordonné au receveur de la poste du 1er-Novembre de faire pression sur moi. J'attire également votre attention que le receveur lui aussi a été muté de la poste de Hussein Dey pour mesures disciplinaires et pour des choses graves. Le receveur de la poste du 1er-Novembre m'a infligé durant uniquement 7 mois de présence à son établissement ce que je n'ai pas reçu depuis 20 ans de présence à la Grande-Poste. Il m'a sanctionné par 5 PV, tous non fondés. Je déplore énergiquement cette injustice et à cet effet, je vous prie d'intervenir et faire cesser la hogra et surtout, que justice soit faite et que l'opprimé soit rétabli dans ses droits comme le stipule la Constitution. Amiar Abdelkader Hussein Dey-Alger